Au moment où les citoyens se tournent de plus en plus vers des pratiques écologiquement responsables, une grande dissonance persiste dans un domaine souvent négligé : celui de la finance.

La plupart des épargnants ignorent encore que l’argent qu’ils déposent en banque ne reste pas simplement « stocké », mais est activement investi dans des projets souvent contraires à leurs valeurs environnementales.

Le lien entre l’argent, les banques et l’écologie est devenu un sujet incontournable dans le cadre des efforts pour lutter contre le changement climatique.

Le poids des banques dans la crise climatique

le poids des banques dans la crise climatique

le poids des banques dans la crise climatique

Malgré des efforts individuels pour réduire l’empreinte carbone à travers des comportements responsables – recycler, consommer localement ou utiliser des transports décarbonés – les banques continuent, dans leur grande majorité, de financer massivement des industries polluantes. Selon un rapport d’Oxfam France1, les six plus grandes banques françaises ont financé des projets liés aux énergies fossiles à hauteur de 200 milliards d’euros entre 2016 et 2019. Ces investissements massifs placent la France au troisième rang mondial derrière les États-Unis et la Chine en termes de soutien financier à l’industrie fossile.

Cela met en lumière une contradiction majeure : tandis que des conférences internationales comme la COP se multiplient et que des engagements climatiques sont pris, l’argent des citoyens, à travers leurs comptes bancaires et produits d’épargne, est orienté vers des industries qui exacerbent la crise climatique. François Gemenne2, co-auteur du rapport du GIEC et intervenant dans le reportage, souligne la dépendance historique entre les banques et les énergies fossiles. Depuis la révolution industrielle, le financement bancaire a toujours soutenu les énergies carbonées, permettant leur développement exponentiel.

Pourquoi les banques continuent-elles de financer les énergies fossiles ?

la dépendance mutuelle entre banques et énergies fossiles

la dépendance mutuelle entre banques et énergies fossiles

Le lien entre les banques et l’industrie fossile est profond et résulte de plusieurs facteurs économiques et historiques. Au cœur de cette relation se trouve une forme de dépendance mutuelle : les banques, historiquement associées à l’essor des énergies fossiles, continuent à financer ces secteurs malgré la volatilité et les risques grandissants que ces actifs représentent.

Comme l’explique Gilles Mitteau (Gilles Mitteau, Wikipedia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Gilles_Mitteau)), ancien banquier et vulgarisateur économique, la complexité et le coût croissant de l’extraction pétrolière rendent ce secteur de plus en plus risqué. Il cite l’exemple des coûts d’extraction qui ont drastiquement augmenté au fil des décennies. Si au début du 20e siècle, il suffisait d’un baril de pétrole pour en extraire 100 autres, aujourd’hui, un baril n’en extrait plus que 35.

Cette baisse de rendement énergétique, associée aux coûts de production de plus en plus élevés, pousse les entreprises pétrolières à solliciter davantage de financements bancaires. Et pourtant, malgré cette fragilité, les banques continuent à investir massivement dans ce secteur, piégées dans une spirale où arrêter de financer ces entreprises mettrait en danger leur propre stabilité financière.

Le risque des actifs échoués

le risque des actifs échoués

Le risque des actifs échoués

En poursuivant ces investissements dans les énergies fossiles, les banques s’exposent à des risques considérables liés à la transition écologique. Un concept clé dans cette problématique est celui des « actifs échoués » ou stranded assets. Il s’agit d’investissements qui perdent soudainement de leur valeur en raison de changements dans la réglementation ou dans les technologies, les rendant non viables économiquement.

Gilles Mitteau illustre cela avec un exemple concret : si un gisement de gaz de schiste en Californie, actuellement valorisé à un milliard de dollars, devient soudainement inutilisable en raison d’une interdiction gouvernementale sur la fracturation hydraulique, il devient un actif échoué. Cette perte de valeur affecterait gravement les bilans des banques, et pourrait même provoquer leur faillite si ces pertes surpassent leurs fonds propres. Selon l’Institut Rousseau, certaines banques européennes ont accumulé des stocks liés aux énergies fossiles équivalant à 95 % de leurs fonds propres, créant une situation de vulnérabilité critique.

La menace des actifs échoués n’est donc pas une simple spéculation. Un rapport publié dans la revue Nature estime que les pertes globales liées à ces actifs pourraient dépasser les 1 000 milliards de dollars pour les investisseurs. Si ces risques ne sont pas correctement intégrés dans les modèles de risque des banques, cela pourrait provoquer une nouvelle crise financière majeure, potentiellement plus dévastatrice que celle des subprimes en 2008.

Vers une finance durable : la taxonomie verte

La taxonomie verte

La taxonomie verte

Conscient des dangers que représentent ces investissements carbonés, la Commission européenne a lancé en 2018 un plan d’action pour la finance durable. L’un des éléments phares de ce plan est la taxonomie verte, entrée en vigueur en 2022. Cet outil vise à orienter les flux financiers vers des projets considérés comme durables, en définissant clairement ce qui peut être classé comme « vert ».

Cependant, cette taxonomie présente encore des limites. Comme le souligne Nicolas Dureux3, gestionnaire de portefeuilles, elle permet à des entreprises polluantes de verdir une petite partie de leur activité tout en continuant à recevoir des financements. Par exemple, Total, qui ne produit qu’environ 10 % d’énergie décarbonée, peut être considérée comme une entreprise « verte » dans certaines de ses activités, tandis que des entreprises non polluantes, mais non classées comme vertes, comme des crèches, pourraient être pénalisées. Ce paradoxe soulève la nécessité d’une taxonomie plus rigoureuse, qui pénaliserait clairement les activités polluantes tout en récompensant les véritables efforts de transition.

L’émergence des néobanques vertes

L'émergence des néobanques vertes

L’émergence des néobanques vertes

Face à l’inaction des grandes institutions financières, des alternatives commencent à émerger. Andrea Ganovelli4, fondateur de la néobanque Green-Got, explique que l’objectif de ces nouvelles banques est de garantir que chaque euro déposé finance uniquement des projets durables. Green-Got, par exemple, offre des produits d’épargne et des portefeuilles d’investissement alignés sur les objectifs de transition écologique.

Cette approche présente un double impact : d’une part, elle réoriente les capitaux vers des entreprises et des projets respectueux de l’environnement, et d’autre part, elle exerce une pression sur les banques traditionnelles. Ces dernières, confrontées au succès de ces nouvelles alternatives, sont poussées à revoir leurs modèles. Ganovelli évoque la « schizophrénie » du marché financier actuel, où des citoyens conscients des enjeux climatiques continuent de voir leur argent financer des projets fossiles, souvent à leur insu.

L’épargne : un levier de changement

L'épargne comme levier de changement

L’épargne comme levier de changement

Investir dans la transition écologique n’est pas seulement un choix éthique, c’est aussi un choix économique. Comme le montrent les performances des entreprises de la transition énergétique, ces investissements peuvent être bien plus rentables que ceux dans les énergies fossiles.

Par exemple, des entreprises comme Fer Solar et Enphase Energy ont connu des croissances de 370 % et 658 % respectivement, sur cinq ans, surpassant de loin les performances des géants du fossile comme Total ou RWE.

Pour Gilles Mitteau, la réorientation de l’épargne est donc loin d’être un sacrifice. Au contraire, elle représente une opportunité de gagner de l’argent tout en contribuant activement à la transition écologique. Il insiste sur la nécessité de sensibiliser les épargnants à l’impact de leur argent et à leur responsabilité individuelle.

Conclusion : un tournant nécessaire pour la finance

Le lien entre les banques et l’écologie est aujourd’hui au centre des préoccupations économiques et climatiques. Si les grandes banques continuent de financer massivement les énergies fossiles, elles se mettent à risque, tout en retardant une transition pourtant inévitable. Les citoyens, en réorientant leur épargne vers des institutions plus responsables, peuvent jouer un rôle crucial dans cette transformation.

Le succès de néobanques vertes comme Green-Got prouve que la finance durable n’est pas seulement un idéal, mais une réalité économique en plein essor. Pour autant, il est urgent que les grandes institutions traditionnelles adaptent leurs modèles, intégrant pleinement les risques climatiques et cessant de soutenir des industries qui mettent en péril l’avenir de la planète.

La finance de demain devra être responsable, ou ne sera pas.

  1. Comment les banques françaises aggravent les changements climatiques, Oxfam France, https://www.oxfamfrance.org/climat-et-energie/impact-banques-climat/ []
  2. François Gemenne, Wikipedia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Gemenne []
  3. Nicolas Dureux, Linkedin, https://www.linkedin.com/in/nicolas-dureux-a887091b/ []
  4. Andrea Ganovelli, Linkedin, https://www.linkedin.com/in/andr%C3%A9a-ganovelli/ []

L’industrie automobile, notamment le secteur des véhicules électriques, est au cœur d’une bataille économique qui semble de plus en plus acharnée entre la Chine et l’Union européenne. Quelle est la situation actuelle se dirige-t-on vers une guerre commerciale ouverte ?

La Chine subventionne ses fabricants au-delà du raisonnable

L’origine de cette confrontation : les prix extrêmement compétitifs des véhicules électriques chinois, soutenus par des subventions publiques massives, qui mettent en péril les fabricants européens.

origine conflit chine ue

En réponse, l’Union européenne a récemment voté en faveur de l’imposition de droits de douane supplémentaires sur les véhicules électriques importés de Chine. Ce geste protectionniste a suscité une vive réaction de Pékin, menaçant de représailles contre certains produits européens. Cette escalade pourrait bien être le début d’une guerre commerciale aux lourdes conséquences pour les deux blocs.

Une taxe pour rétablir la concurrence ?

Le principal argument de l’Union européenne pour justifier ces nouvelles taxes repose sur la distorsion de concurrence causée par les subventions étatiques chinoises.

En effet, ces aides permettent aux constructeurs chinois de proposer des véhicules à des prix bien inférieurs à ceux des constructeurs européens. Le commissaire européen chargé du commerce, Valdis Dombrovskis, a récemment souligné l’importance de rétablir des « conditions de concurrence équitable » entre les fabricants européens et chinois.

mesures européennes

Concrètement, la taxe imposée pourra atteindre jusqu’à 35,3 % en fonction du niveau des subventions perçues par les entreprises chinoises. Le constructeur BYD, par exemple, le deuxième fabricant mondial de véhicules électriques, verra ses voitures taxées à hauteur de 17 %, en plus des 10 % de droits de douane déjà en vigueur. L’objectif de cette mesure est clair : protéger les fabricants européens face à une concurrence jugée déloyale.

Protectionnisme ou nécessité ?

Cette décision de Bruxelles n’a pas fait l’unanimité. Plusieurs États membres, dont l’Allemagne, se sont opposés à la mise en place de ces droits de douane supplémentaires, craignant des représailles commerciales de la part de la Chine. L’Allemagne, fortement dépendante de ses exportations, notamment dans le secteur automobile, craint une réponse du même acabit de la part de Pékin.

En effet, la Chine a déjà laissé entendre qu’elle pourrait imposer des taxes sur des produits européens tels que le cognac, les produits laitiers ou encore le porc, ce qui menace plusieurs secteurs économiques clés en Europe.

débat sur le protectionnisme

Jean-Marc Daniel, économiste et professeur émérite à l’ESCP Business School, considère cette taxe comme une « grosse erreur ». Selon lui, en engageant une politique protectionniste, l’Europe risque de nuire à ses propres intérêts économiques. « Les pays avec qui on commerce ne sont pas seulement des concurrents, mais aussi des clients », explique-t-il. Il rappelle que l’Union européenne dégage un excédent commercial global de 250 milliards d’euros par an, une situation qui pourrait être fragilisée par une guerre commerciale avec la Chine.

À l’inverse, Yves Bertoncini, consultant et enseignant en affaires européennes, voit dans cette taxe une opportunité pour l’Europe de montrer à la Chine qu’elle ne tolérera plus ces pratiques commerciales déloyales. Selon lui, « il s’agit d’un coup de semonce » pour inciter les autorités chinoises à revoir leurs pratiques et à rétablir un équilibre dans les échanges commerciaux entre les deux régions.

La Chine, entre contre-attaque et adaptation

La réaction de la Chine ne s’est pas fait attendre. Le gouvernement chinois a dénoncé ces mesures comme étant des pratiques « protectionnistes injustes » et « déraisonnables », menaçant de frapper les intérêts européens. Outre la possible mise en place de taxes sur certains produits européens, la Chine pourrait également chercher à contourner ces nouvelles barrières commerciales en implantant des usines de production en Europe.

réaction de la chine face aux taxes européennes

En effet, plusieurs constructeurs chinois, tels que BYD et Great Wall Motors, ont déjà annoncé leur intention de construire des usines sur le sol européen. Ces investissements permettraient à la Chine de continuer à vendre ses véhicules sans avoir à payer les taxes à l’importation tout en profitant d’une main-d’œuvre locale bon marché, notamment en Hongrie et en Slovaquie.

Cela pourrait ainsi atténuer l’impact des nouvelles mesures européennes tout en renforçant la présence chinoise sur le marché automobile européen.

stratégie d'implantation chinoise

Cependant, cette stratégie d’implantation en Europe suscite des interrogations. D’une part, elle pourrait favoriser la création d’emplois en Europe, ce qui serait bénéfique pour certaines économies locales. D’autre part, elle soulève la question de savoir si l’Europe ne se prive pas d’opportunités d’investissement en surtaxant les véhicules importés. Pour Yves Bertoncini, il s’agit d’un arbitrage délicat entre la protection de l’industrie européenne et l’attraction des investissements étrangers. « Certes, ces voitures resteront des véhicules chinois, mais elles seront produites par des travailleurs européens », explique-t-il.

Un risque pour les consommateurs européens ?

L’une des grandes inconnues de cette guerre commerciale naissante concerne l’impact de ces mesures sur les consommateurs européens. Les voitures électriques chinoises sont actuellement vendues à des prix bien inférieurs à ceux des modèles européens. En augmentant les taxes sur ces véhicules, l’Union européenne risque de faire grimper les prix des voitures électriques, ce qui pourrait ralentir la transition écologique en rendant ces véhicules moins accessibles pour les particuliers.

impact des taxes sur les consommateurs européens

Pour Jean-Marc Daniel, ce sont les consommateurs européens qui seront les grands perdants de cette politique protectionniste. « Au final, ce sont eux qui paieront ces taxes », explique-t-il. En effet, si les constructeurs chinois décident de répercuter ces coûts supplémentaires sur leurs prix de vente, les voitures électriques importées deviendront moins abordables pour les ménages européens, alors même que la demande pour ce type de véhicule est en forte croissance dans le cadre des objectifs de réduction des émissions de CO2.

Quelles perspectives pour l’avenir ?

L’escalade des tensions entre la Chine et l’Union européenne pose la question de l’avenir des relations commerciales entre ces deux puissances économiques. Si les deux parties semblent pour l’instant prêtes à défendre leurs intérêts, il est peu probable qu’une véritable guerre commerciale éclate à grande échelle. Les deux blocs ont beaucoup à perdre dans ce conflit, et un compromis pourrait encore être trouvé pour éviter des répercussions trop lourdes sur leurs économies respectives.

perspectives d'avenir

L’une des pistes envisagées serait de renforcer la coopération industrielle entre les deux régions. En encourageant la création de coentreprises et en incitant les constructeurs chinois à produire directement en Europe, l’Union européenne pourrait à la fois préserver ses emplois et bénéficier des investissements chinois. Cela permettrait également de maintenir un certain équilibre sur le marché automobile tout en répondant aux exigences de la transition écologique.

pistes de coopération entre chine et union européenne

Néanmoins, la situation reste incertaine. La Chine, en position de force sur le marché des véhicules électriques, pourrait choisir de durcir sa position et de s’engager dans une guerre commerciale plus vaste si elle estime que ses intérêts sont trop menacés. De leur côté, les États membres de l’Union européenne devront continuer à naviguer entre la défense de leurs intérêts économiques et la nécessité de maintenir des relations commerciales équilibrées avec un partenaire incontournable.

Conclusion

En somme, bien que la guerre commerciale ne soit pas encore officiellement déclarée, les premiers coups de semonce ont été tirés.

Les prochaines étapes dépendront en grande partie de la capacité des deux blocs à trouver un compromis qui satisfera à la fois les exigences de concurrence équitable de l’Union européenne et les intérêts stratégiques de la Chine. Une chose est certaine : l’issue de ce conflit pourrait remodeler durablement le paysage de l’industrie automobile mondiale.

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L’achat d’une nouvelle voiture, la rénovation de votre maison, le financement de votre mariage de rêve ou encore des vacances en famille, autant de projets pour lesquels vous pourriez envisager de souscrire un crédit à la consommation. Ce type de prêt permet d’obtenir une somme d’argent pour financer des projets personnels sans avoir à justifier de la manière dont vous l’utiliserez, ou bien pour gérer des dépenses imprévues.

Mais avec une grande variété d’offres sur le marché, il est crucial de bien choisir le crédit adapté à vos besoins afin d’éviter toute mauvaise surprise. Cet article vous guide à travers les principales étapes à suivre pour choisir le bon crédit à la consommation.

🧐 Comprendre les types de crédits à la consommation

types de crédits à la consommation

Il existe principalement deux formes de crédits à la consommation : le prêt personnel et le crédit renouvelable. Ces deux types de prêts répondent à des besoins différents et présentent des caractéristiques propres.

Le prêt personnel

Le prêt personnel est un mini crédit non affecté, c’est-à-dire que l’emprunteur peut utiliser la somme empruntée comme bon lui semble, sans avoir à justifier son utilisation. Ce type de crédit est souvent utilisé pour financer des projets d’envergure, tels que l’achat d’une voiture, la réalisation de travaux dans votre logement, ou encore l’organisation d’un événement comme un mariage.

le prêt personnel

Le prêt personnel a généralement un taux d’intérêt fixe, ce qui signifie que les mensualités restent constantes tout au long de la durée du remboursement. C’est un choix intéressant pour ceux qui souhaitent planifier précisément leur budget, car il n’y a pas de surprises en termes de coûts.

Le crédit renouvelable

Le crédit renouvelable, quant à lui, est une réserve d’argent mise à disposition de l’emprunteur. À mesure que vous remboursez le montant utilisé, la somme disponible se reconstitue. Ce type de crédit est flexible et permet de gérer des dépenses imprévues ou des petits projets personnels.

Par exemple, si vous devez financer des réparations urgentes sur votre voiture ou acheter un équipement imprévu, le crédit renouvelable peut être une bonne solution. On le trouve en sollicitant un organisme de crédit ou en utilisant une carte de crédit.

crédit renouvelable

Toutefois, cette flexibilité a un coût : les taux d’intérêt appliqués aux crédits renouvelables sont généralement plus élevés que ceux des prêts personnels. Ce type de crédit est donc plus adapté aux besoins ponctuels et à court terme.

🫰 Analyser vos besoins financiers

Avant de choisir votre crédit, il est important de bien cerner vos besoins financiers. Posez-vous les bonnes questions : pourquoi avez-vous besoin de ce prêt ? Quel est le montant dont vous avez besoin ? Quelle est la durée optimale de remboursement pour ne pas compromettre votre budget mensuel ?

analyser vos besoins financiers

  • Le montant du crédit : La première chose à définir est la somme que vous devez emprunter. Elle dépend bien entendu de la nature de votre projet. Par exemple, un projet de rénovation de maison nécessitera souvent un prêt plus élevé qu’un besoin ponctuel d’argent pour couvrir des réparations ou des achats d’urgence.
  • La durée du crédit : Plus la durée de remboursement est longue, plus le coût total du crédit sera élevé. Cependant, des mensualités plus faibles réparties sur une période plus longue peuvent être plus gérables pour votre budget. Il est donc crucial de trouver un équilibre entre une durée de remboursement adaptée à votre capacité financière et le coût global du crédit.

💸 Comprendre le TAEG et le coût total du crédit

Lors de la souscription d’un crédit à la consommation, un élément fondamental à prendre en compte est le TAEG (Taux Annuel Effectif Global). Ce taux englobe l’ensemble des coûts associés à votre crédit, y compris les intérêts et les frais annexes (frais de dossier, assurances, etc.). Il reflète donc le coût total de votre crédit.

comprendre le taeg

Un crédit à taux fixe présente l’avantage de garantir que vos mensualités resteront inchangées pendant toute la durée du prêt. C’est une bonne solution si vous souhaitez avoir une vision claire et précise de vos dépenses sur le long terme. D’un autre côté, certains crédits peuvent avoir des taux révisables, qui varient en fonction des conditions du marché. Ce type de crédit peut parfois sembler attractif au départ, mais il présente un risque d’augmentation du coût total du prêt si les taux d’intérêt augmentent.

Lorsque vous comparez différentes offres de crédit, concentrez-vous sur le TAEG. Il vous permet de comparer plus facilement les offres, même si elles sont structurées différemment.

🏋️‍♀️ Évaluer votre capacité de remboursement

Souscrire un crédit, c’est prendre un engagement financier sur plusieurs mois, voire plusieurs années. Il est donc essentiel d’évaluer correctement votre capacité de remboursement avant de vous engager. Cela implique de prendre en compte vos revenus actuels, vos charges fixes, ainsi que vos autres crédits en cours.

évaluer sa capacité de remboursement

Les établissements de crédit exigent souvent que vos mensualités ne dépassent pas un certain pourcentage de vos revenus, généralement autour de 33 %. Ce taux d’endettement est un indicateur clé de votre capacité à rembourser un prêt sans compromettre votre équilibre financier. Assurez-vous de respecter ce ratio afin d’éviter le surendettement :

Calculateur de taux d'endettement 2025

Taux d'endettement : *** %

En outre, il est toujours prudent d’avoir une marge de sécurité. En cas de baisse de revenus imprévue (perte d’emploi, maladie, etc.), vous devez être en mesure de continuer à honorer vos mensualités. Pour cela, vous pouvez souscrire une assurance emprunteur qui couvrira vos remboursements en cas de coup dur.

🤓 Étudier les clauses de remboursement anticipé

Parfois, il peut arriver que vous ayez une rentrée d’argent imprévue (bonus, héritage, etc.) et que vous souhaitiez rembourser tout ou partie de votre crédit à l’avance. C’est là que le remboursement anticipé entre en jeu. Certains crédits à la consommation permettent un remboursement anticipé sans frais, tandis que d’autres prévoient des pénalités pour compenser la perte d’intérêts pour le prêteur.

Clauses de remboursement anticipé

Il est donc essentiel de vérifier les clauses de remboursement anticipé avant de signer un contrat de crédit. Même si vous ne prévoyez pas de rembourser votre prêt en avance, avoir cette option peut être une sécurité intéressante si votre situation financière change.

⚖️ Comparer les offres de crédit

Une fois que vous avez déterminé vos besoins et évalué votre capacité de remboursement, il est temps de comparer les offres de crédit. Pour cela, vous pouvez utiliser des simulateurs de crédit en ligne, qui vous permettent de comparer les différentes options en fonction du montant emprunté, de la durée de remboursement, du taux d’intérêt et du TAEG.

Comparer les offres de crédit

Assurez-vous de comparer plusieurs offres avant de prendre une décision. Chaque établissement financier propose des conditions différentes, et certains peuvent avoir des offres promotionnelles ou des conditions avantageuses (pas de frais de dossier, taux préférentiel pour une durée limitée, etc.).

Vous pouvez également consulter un conseiller financier pour vous aider à décrypter les différentes offres et à choisir celle qui correspond le mieux à votre situation. N’hésitez pas à poser des questions et à demander des clarifications si certains aspects du contrat ne vous semblent pas clairs.

📖 Les droits de l’emprunteur

Enfin, il est important de connaître vos droits en tant qu’emprunteur. Depuis la loi Lagarde de 2010, vous disposez de plusieurs protections lors de la souscription d’un crédit à la consommation. Vous avez par exemple un droit de rétractation de 14 jours à compter de la signature de l’offre de prêt. Cela vous permet d’annuler le contrat sans frais, si jamais vous changez d’avis.

Droits de l'emprunteur

En outre, les établissements de crédit sont tenus de vérifier votre solvabilité avant de vous accorder un prêt. Ils doivent également vous fournir une fiche d’information précontractuelle détaillant les conditions du prêt, y compris les taux d’intérêt, les frais, et les éventuelles assurances.

🤗 Conclusion

En résumé, choisir le bon crédit à la consommation nécessite de bien comprendre vos besoins, de comparer attentivement les offres et de connaître vos droits en tant qu’emprunteur. Que vous optiez pour un prêt personnel ou un crédit renouvelable, il est essentiel de prendre en compte le coût total du crédit, votre capacité de remboursement, et les clauses de votre contrat pour éviter toute mauvaise surprise.

🤔 Questions Fréquentes

Quels sont les avantages et inconvénients d’un crédit non affecté par rapport à un crédit affecté ?

Crédit non affecté (Prêt personnel)

Avantages
  • Flexibilité d’utilisation : l’argent peut être utilisé pour n’importe quel projet sans justification.
  • Moins de démarches administratives : pas besoin de fournir de justificatifs d’achat.
  • Taux d’intérêt souvent fixe : stabilité des mensualités sur toute la durée du prêt.
Inconvénients
  • Taux d’intérêt potentiellement plus élevés, car le prêteur prend plus de risques.
  • Pas de protection spécifique : l’emprunteur doit rembourser le prêt même si le projet financé ne se réalise pas.

 

Crédit affecté

Avantages
  • Protection renforcée : si l’achat ou le projet n’a pas lieu, le crédit peut être annulé.
  • Taux d’intérêt souvent plus bas, car le prêteur connaît précisément l’usage des fonds.
  • Plus de sécurité pour des achats spécifiques (ex : crédit auto, prêt travaux).
Inconvénients
  • Moins de flexibilité : l’argent ne peut être utilisé que pour le projet spécifiquement désigné.
  • Démarches administratives plus complexes : nécessité de fournir des justificatifs d’achat ou de devis.

Comment évaluer ma capacité de remboursement pour un crédit à la consommation ?

Pour évaluer votre capacité de remboursement, suivez ces étapes :

  1. Calculez vos revenus mensuels nets : Additionnez vos revenus stables, tels que votre salaire, vos allocations ou vos pensions. Excluez les revenus irréguliers ou ponctuels (primes, etc.).
  2. Listez vos charges mensuelles fixes : Il s’agit de vos dépenses récurrentes comme le loyer, les factures d’électricité, d’eau, d’internet, les assurances, les abonnements, etc.
  3. Prenez en compte vos autres crédits en cours : Additionnez les mensualités de vos prêts en cours (prêt immobilier, prêt auto, etc.).
  4. Calculez votre taux d’endettement : Ce taux correspond à la part de vos revenus qui est consacrée au remboursement des crédits. Il ne doit généralement pas dépasser 33 % de vos revenus nets mensuels.
    • Taux d’endettement = (Charges liées aux crédits en cours + mensualité du crédit envisagé) ÷ revenus mensuels nets.
    • Exemple : si vous avez un revenu net mensuel de 2 500 € et que vos mensualités de crédit en cours s’élèvent à 600 €, ajouter un nouveau crédit de 200 € mensuels vous amène à un taux d’endettement de 32 % ((600 € + 200 €) ÷ 2 500 €).
  5. Prévoyez une marge de sécurité : Prenez en compte les imprévus comme les réparations, les baisses de revenus ou les dépenses médicales, afin de ne pas mettre votre situation financière en danger.

Quels sont les frais annexes à surveiller lors de la souscription d’un crédit à la consommation ?

Lors de la souscription d’un crédit à la consommation, il est important de surveiller plusieurs frais annexes, notamment :

  • Les frais de dossier : Certains établissements facturent des frais pour la mise en place du crédit, bien que ces frais puissent parfois être négociés ou supprimés.
  • Les assurances : Une assurance emprunteur est souvent facultative, mais elle peut représenter un coût significatif. Elle protège en cas d’incapacité de remboursement (décès, invalidité, chômage).
  • Les frais de remboursement anticipé : Si vous souhaitez rembourser tout ou partie du crédit avant son terme, certains contrats prévoient des pénalités.
  • Les frais de gestion : Certains crédits renouvelables incluent des frais de gestion, même lorsque vous n’utilisez pas la réserve d’argent.
  • Les frais de retard : En cas de paiement en retard, des pénalités peuvent s’appliquer, augmentant le coût global du crédit.

Quelle est la différence entre un prêt à taux fixe et un prêt à taux variable ?

  • Prêt à taux fixe :
    • Caractéristiques : Le taux d’intérêt est fixé au moment de la souscription et reste constant pendant toute la durée du prêt. Cela signifie que les mensualités ne varient pas, offrant une grande stabilité financière.
    • Avantages : Sécurité et prévisibilité, car vous savez dès le départ combien vous aurez à rembourser chaque mois et sur l’ensemble de la durée du crédit.
    • Inconvénients : Si les taux d’intérêt sur le marché baissent, vous ne bénéficierez pas de cette baisse.
  • Prêt à taux variable :
    • Caractéristiques : Le taux d’intérêt peut fluctuer en fonction des variations des taux du marché. Il est souvent indexé sur un indice de référence (comme l’Euribor) et peut être révisé périodiquement (mensuellement, trimestriellement ou annuellement).
    • Avantages : Si les taux d’intérêt baissent, vos mensualités peuvent diminuer, ce qui peut réduire le coût total du crédit.
    • Inconvénients : Le taux peut également augmenter, entraînant des mensualités plus élevées et un coût total du crédit plus important. Cela peut représenter un risque pour ceux qui ont un budget serré.

Comment utiliser un comparateur de crédits pour trouver l’offre la plus avantageuse ?

Un comparateur de crédits est un outil en ligne qui permet de comparer plusieurs offres de crédit à la consommation en fonction de différents critères. Voici comment l’utiliser efficacement :

  1. Saisissez vos besoins : Entrez le montant que vous souhaitez emprunter, la durée de remboursement souhaitée et, éventuellement, le type de crédit (prêt personnel, crédit renouvelable, etc.).
  2. Comparez les TAEG : Le comparateur vous affichera les différentes offres disponibles en mettant en avant le TAEG. Choisissez l’offre avec le TAEG le plus bas, car il reflète le coût total du crédit.
  3. Examinez les mensualités et la durée : Assurez-vous que les mensualités correspondent à ce que vous pouvez rembourser chaque mois sans mettre en péril votre budget.
  4. Vérifiez les frais annexes : Certains comparateurs indiquent aussi les frais de dossier, les éventuelles assurances incluses et les frais de remboursement anticipé. Prenez en compte ces éléments avant de prendre une décision.
  5. Simulez plusieurs scénarios : Changez les paramètres (montant, durée) pour voir comment cela impacte les mensualités et le coût total. Cela vous permettra d’optimiser vos choix en fonction de votre capacité de remboursement.
  6. Lisez les conditions générales : Ne vous fiez pas uniquement aux résultats du comparateur. Consultez les conditions spécifiques à chaque offre pour éviter les mauvaises surprises (frais cachés, clauses particulières).

En suivant ces étapes, vous serez en mesure de choisir l’offre de crédit la plus avantageuse et adaptée à vos besoins et capacités financières.

Sources :

Le crédit à la consommation est un sujet souvent entouré de mystère et de confusion pour de nombreuses personnes. Taux d’intérêt, TAEG, mensualités… Ces termes peuvent rapidement devenir intimidants, et il est facile de se sentir perdu au milieu des nombreux acronymes et formalités.

Pourtant, comprendre comment fonctionne un crédit à la consommation peut permettre de mieux gérer ses finances, d’éviter les mauvaises surprises et de faire des choix éclairés. Dans cet article, nous allons décortiquer ce type de prêt, ses différentes formes, ses avantages et ses pièges potentiels afin de vous offrir une vision claire et accessible.

Qu’est-ce qu’un crédit à la consommation ?

Le crédit à la consommation est un prêt accordé par une banque ou un autre organisme financier pour financer des achats personnels. Contrairement à un crédit immobilier, qui est spécifiquement destiné à l’acquisition d’un bien immobilier, le crédit à la consommation peut servir à financer un large éventail de projets : l’achat d’une voiture, l’aménagement d’une maison, des vacances, des frais de scolarité, ou même des dépenses courantes.

Definition-du-credit-a-la-consommation

Le montant d’un crédit à la consommation est encadré par la loi. Il doit se situer entre 200 et 75 000 euros, avec une durée de remboursement supérieure à trois mois. Il est également important de noter que ce type de prêt ne peut pas être utilisé pour acheter un bien immobilier.

Les différentes formes de crédit à la consommation

Le crédit à la consommation se décline principalement sous deux formes : le prêt personnel et le crédit renouvelable.

1. Le prêt personnel

Le prêt personnel est sans doute la forme la plus simple et la plus transparente du crédit à la consommation. Dans ce cadre, la banque ou l’organisme prêteur vous octroie une somme d’argent que vous êtes libre d’utiliser comme bon vous semble, sans avoir à justifier vos dépenses. Que vous souhaitiez acheter une voiture, faire des travaux ou financer un mariage, le prêt personnel vous laisse toute latitude.

Le prêt personnel

L’un des avantages du prêt personnel est qu’il est généralement à taux fixe, ce qui signifie que le taux d’intérêt ne variera pas tout au long de la durée de remboursement. Cela permet une meilleure maîtrise de vos finances, car vous connaissez à l’avance le coût total du crédit et le montant exact de chaque mensualité. Ainsi, pas de surprise en cours de route : ce que vous voyez est ce que vous paierez.

2. Le crédit renouvelable

Le crédit renouvelable, quant à lui, est un peu plus complexe et nécessite une attention particulière. Il s’agit d’une réserve d’argent mise à votre disposition par la banque, que vous pouvez utiliser et reconstituer au fur et à mesure de vos remboursements. Le crédit renouvelable peut servir à financer des dépenses courantes ou des imprévus, comme des réparations ou des achats de dernière minute.

le crédit renouvelable

Toutefois, il présente quelques inconvénients. Contrairement au prêt personnel, le crédit renouvelable est souvent à taux variable, ce qui signifie que le taux d’intérêt peut fluctuer en fonction des conditions du marché. Cela peut rendre le coût du crédit plus difficile à anticiper, et donc plus risqué si vous n’êtes pas attentif à l’évolution des taux.

En outre, le crédit renouvelable peut inciter à une consommation excessive, car il est toujours disponible en arrière-plan, prêt à être utilisé. Il est donc crucial de bien gérer son budget et d’éviter de s’endetter plus que nécessaire.

Comment fonctionne un crédit à la consommation ?

Lorsque vous décidez de souscrire à un crédit à la consommation, plusieurs étapes sont à suivre pour garantir que le processus se déroule en toute sécurité et dans les meilleures conditions. Voici les principales étapes du processus.

1. La demande de crédit

La première étape consiste à faire une demande de crédit auprès d’un établissement financier. Pour cela, vous devrez fournir un certain nombre d’informations personnelles et financières, telles que vos coordonnées, votre situation familiale, votre profession, vos revenus et vos charges.

La demande de crédit

Il vous sera également demandé de préciser le type de crédit que vous souhaitez (prêt personnel ou crédit renouvelable), le montant que vous désirez emprunter, ainsi que la durée de remboursement envisagée.

2. L’évaluation de votre solvabilité

Une fois votre demande déposée, l’organisme prêteur va évaluer votre solvabilité. Cela signifie qu’il va vérifier que vous êtes en mesure de rembourser le crédit demandé sans mettre en péril votre situation financière. Pour ce faire, il examinera vos revenus, vos charges, ainsi que les éventuels crédits que vous avez déjà en cours.

Evaluation de votre solvabilité

Une vérification auprès de la Banque de France sera également effectuée pour s’assurer que vous n’êtes pas inscrit au Fichier national des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers (FICP). Si vous êtes fiché, il vous sera plus difficile, voire impossible, d’obtenir un nouveau crédit.

3. L’offre de prêt

Si votre demande est acceptée, l’organisme prêteur vous enverra une offre de prêt. Ce document doit obligatoirement contenir un certain nombre d’informations clés, telles que le montant emprunté, la durée du prêt, le nombre et le montant des mensualités, le taux d’intérêt appliqué, ainsi que le TAEG (Taux Annuel Effectif Global).

L'offre de prêt

Le TAEG est une donnée essentielle, car il inclut non seulement le taux d’intérêt, mais également tous les frais annexes liés au crédit (frais de dossier, assurances, etc.). Il représente donc le coût total du crédit pour l’emprunteur et permet de comparer les offres entre elles de manière plus transparente.

4. La période de rétractation

La période de rétractation

Une fois l’offre de prêt signée, vous disposez d’un délai de 14 jours calendaires pour changer d’avis. Ce droit de rétractation est une protection importante pour le consommateur, car il permet de revenir sur sa décision sans avoir à justifier son choix. Si vous décidez de vous rétracter, il vous suffit de renvoyer le formulaire joint à l’offre par courrier ou par email.

5. Le remboursement anticipé

Le remboursement anticipé est une autre option à considérer. Si vous bénéficiez d’une rentrée d’argent imprévue (par exemple, une prime, une succession ou la vente d’un bien), vous pouvez choisir de rembourser tout ou partie de votre crédit par anticipation. Cela peut vous permettre de réduire le coût total du crédit, car vous paierez moins d’intérêts.

Le remboursement anticipé

Cependant, certaines banques peuvent appliquer des pénalités en cas de remboursement anticipé, surtout si celui-ci intervient dans les premières années du prêt. Il est donc important de bien lire les conditions de votre contrat avant de vous engager.

Les pièges à éviter

Le crédit à la consommation peut être un excellent outil pour financer vos projets, mais il comporte également des risques qu’il convient de connaître afin de les éviter.

1. Le surendettement

Le risque de surendettement

Le principal risque du crédit à la consommation est le surendettement. Il est facile de se laisser emporter par la facilité avec laquelle on peut obtenir de l’argent rapidement, surtout avec un crédit renouvelable. Toutefois, accumuler les crédits peut rapidement mener à une situation financière intenable, où les mensualités deviennent trop lourdes à assumer.

2. Les taux d’intérêt variables

Les taux d'intérêt variables

Comme mentionné plus haut, le crédit renouvelable est souvent à taux variable. Cela signifie que le coût de votre crédit peut augmenter de manière imprévisible, rendant le remboursement plus difficile. Il est donc important de bien comprendre les conditions du crédit avant de s’engager et de s’assurer que l’on peut supporter une éventuelle hausse des taux.

3. Les assurances facultatives

Les assurances facultatives

Lors de la souscription à un crédit à la consommation, on vous proposera souvent des assurances facultatives (par exemple, une assurance décès ou une assurance chômage). Si ces assurances peuvent être utiles dans certaines situations, elles augmentent également le coût total du crédit. Avant de souscrire, il est essentiel de vérifier si vous en avez réellement besoin et de comparer les offres pour obtenir le meilleur rapport qualité/prix.

Conclusion

Le crédit à la consommation peut être une solution financière efficace pour réaliser vos projets personnels, à condition de bien comprendre son fonctionnement et de l’utiliser avec discernement. En choisissant le type de crédit adapté à vos besoins, en étant attentif aux conditions du prêt et en évitant les pièges du surendettement, vous pouvez profiter de cette opportunité sans compromettre votre stabilité financière.

Alors, prêt à sauter le pas pour financer votre prochain projet ?

Questions fréquentes sur le crédit à la consommation

1. Quelle est la différence entre un prêt personnel et un crédit renouvelable ?

Le prêt personnel est un montant fixe que vous empruntez auprès d’une banque ou d’un organisme de crédit et que vous remboursez selon un calendrier défini. Le taux d’intérêt est généralement fixe, et vous pouvez utiliser l’argent comme bon vous semble, sans avoir à justifier vos dépenses. En revanche, le crédit renouvelable (ou crédit revolving) est une réserve d’argent disponible que vous pouvez utiliser et reconstituer au fur et à mesure des remboursements. Ce type de crédit est souvent à taux variable, ce qui peut entraîner des fluctuations du coût total du crédit.

2. Qu’est-ce que le TAEG et pourquoi est-il important ?

Le TAEG (Taux Annuel Effectif Global) est un indicateur qui permet de mesurer le coût total d’un crédit. Il inclut non seulement le taux d’intérêt, mais aussi les frais annexes comme les frais de dossier et les assurances obligatoires. C’est un outil essentiel pour comparer différentes offres de crédit, car il donne une vision complète du coût réel d’un emprunt. Plus le TAEG est élevé, plus le crédit vous coûtera cher.

3. Est-il possible de rembourser un crédit à la consommation par anticipation ?

Oui, il est tout à fait possible de rembourser un crédit à la consommation par anticipation, en partie ou en totalité. Cela peut vous permettre de réduire le coût total du crédit, car vous paierez moins d’intérêts. Cependant, certaines banques peuvent appliquer des pénalités ou des frais pour le remboursement anticipé, notamment si vous remboursez dans les premières années du contrat. Il est donc essentiel de vérifier les conditions de votre contrat avant d’effectuer un remboursement anticipé.

4. Quelles sont les conditions pour obtenir un crédit à la consommation ?

Pour obtenir un crédit à la consommation, vous devez remplir un questionnaire d’informations auprès de la banque ou de l’organisme prêteur. Cela inclut vos informations personnelles (nom, adresse, situation familiale), vos revenus, vos charges et votre patrimoine éventuel. Vous devez également fournir certains justificatifs comme une pièce d’identité, un justificatif de revenus et un relevé d’identité bancaire (RIB). L’organisme prêteur examinera ensuite votre dossier pour s’assurer de votre solvabilité avant de vous accorder le crédit.

5. Que se passe-t-il si je ne peux plus rembourser mon crédit à la consommation ?

Si vous ne parvenez plus à rembourser votre crédit à la consommation, la situation peut rapidement dégénérer. Le premier réflexe est de contacter votre banque ou l’organisme prêteur pour tenter de renégocier les modalités de remboursement (allongement de la durée, diminution des mensualités). En cas de non-paiement, vous risquez des pénalités, l’inscription au Fichier national des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers (FICP), voire des poursuites judiciaires. Si votre situation financière devient critique, il peut être utile de consulter un conseiller en surendettement pour explorer les solutions adaptées.

L’état économique et financier de la France atteint un point critique. À en croire les récentes analyses, le pays est plongé dans une crise qui va au-delà de la gravité décrite par Michel Barnier. La situation est véritablement catastrophique. Les chiffres de la dette publique publiés pour le deuxième trimestre 2024 confirment cette explosion incontrôlable, plaçant la France dans une spirale dangereuse.

Une dette publique en pleine explosion

La dette publique française a franchi un seuil inquiétant au cours du deuxième trimestre 2024, atteignant 3 228,4 milliards d’euros, soit environ 47 215 € par Français, y compris les nouveau-nés. Depuis 2020, la dette a augmenté de 842,3 milliards d’euros.

la dette publique en pleine explosion

Cette augmentation rapide n’a cependant pas produit les effets escomptés : ni une croissance économique robuste, ni le plein emploi. Au contraire, le taux de chômage reste supérieur à 16,5 %, les inégalités s’accentuent, et la pauvreté se propage, signalant un échec des politiques économiques.

Un cercle vicieux s’installe

Face à cette explosion de la dette, le gouvernement se tourne vers des mesures d’augmentation des impôts. Cependant, cette stratégie pourrait bien aggraver la situation. En effet, des hausses d’impôts risquent de freiner l’activité économique, entraînant une baisse des investissements, de la consommation, et donc de la croissance.

cercle vicieux de la dette

Ce ralentissement pourrait précipiter la France vers une récession, déclenchant une nouvelle hausse du chômage, aggravant ainsi le déficit budgétaire et la dette publique. Ce cercle vicieux menace de plonger le pays dans une crise prolongée, rendant toute reprise économique difficile.

La France, un poids pour la zone euro ?

La France n’est pas seulement en danger elle-même, elle pourrait également déstabiliser l’ensemble de la zone euro. À 112 % du PIB, la dette publique française dépasse largement la moyenne de la zone euro (90 %) et celle de l’Allemagne (64 %).

Impact sur la zone euro

Ce dérapage place la France parmi les pays les plus endettés de la zone euro, un statut autrefois réservé à des nations comme la Grèce ou le Portugal. Or, ces pays ont récemment réduit leurs dettes, contrairement à la France, qui semble incapable de contrôler la sienne.

Les investisseurs s’inquiètent

Les signes de défiance des investisseurs ne sont plus négligeables. En juillet 2024, les fonds d’investissement japonais ont vendu près de 9 milliards d’euros de dette publique française, un mouvement significatif qui pourrait faire boule de neige.

inquiétude des investisseurs

Plus inquiétant encore, la part de la dette française détenue par des non-résidents continue d’augmenter, atteignant 54 %. Cette dépendance à l’égard des investisseurs étrangers expose le pays à de graves risques, notamment une forte hausse des taux d’intérêt qui pourrait asphyxier l’économie.

Des taux d’intérêt en hausse

Malgré les efforts des banques centrales pour abaisser les taux d’intérêt, les taux de la dette publique française restent élevés, autour de 3 %. Ce maintien à un niveau élevé témoigne de l’inquiétude des marchés quant à la capacité de la France à redresser ses comptes.

taux d'intérêt en hausse

Le différentiel de taux entre la France et l’Allemagne continue de se creuser, atteignant 80 points de base, un niveau inédit depuis 2012, signalant une méfiance croissante des investisseurs.

La France en voie de dégradation

Les agences de notation sont sur le point de réagir à cette situation préoccupante. Fitch, Moody’s et Standard & Poor’s envisagent toutes de dégrader la note de la dette publique française.

menace de dégradation de la note de la france

Une telle dégradation entraînerait une hausse des taux d’intérêt, rendant le financement de la dette encore plus coûteux et accentuant la spirale négative dans laquelle la France est enfermée.

Conclusion : une nécessité d’agir rapidement

Face à cette situation alarmante, il est impératif que la France prenne des mesures sérieuses et efficaces pour contrôler sa dette et restaurer la confiance des investisseurs. Des réformes structurelles visant à réduire les dépenses publiques, améliorer l’efficacité de l’État et stimuler la croissance sont nécessaires. L’inaction ou les mesures inadéquates risquent de précipiter le pays dans une crise encore plus profonde, avec des conséquences dramatiques non seulement pour la France, mais aussi pour l’ensemble de la zone euro et, potentiellement, pour l’économie mondiale.

Le message est clair : il est temps de tirer la sonnette d’alarme et d’adopter des mesures responsables pour éviter une implosion sociale et économique. Le futur de la France et de l’Europe dépendra de la capacité de nos dirigeants à relever ce défi titanesque.

C’est à l’achat que se font les bonnes opérations immobilières.

La négociation immobilière est une compétence indispensable pour tout acheteur. En baissant même légèrement le prix d’achat, vous pouvez économiser des milliers d’euros et vous permettre de réaliser une plu-value plus rapidement.

Heureusement, la négociation est une étape sur laquelle vous avez un contrôle direct, à condition de bien connaître les stratégies. Cet article, basé sur des témoignages d’experts en immobilier, vous donnera des clés pour devenir un négociateur plus efficace.

Vous préférez voir ces astuces en vidéo ?

🏡 Expérience personnelle de l’achat d’un appartement

J’ai été moi-même acquéreur d’un bien immobilier à Bayonne en 2023 au début de la baisse des prix. Je regrette de ne pas avoir négocié plus fort. Voici pourquoi.

Contexte :

  • Le prix de vente du bien fixé par l’agence immobilière était de 270 000€
  • J’ai négocié ce prix à 250 000 € en le payant comptant (net acheteur, frais d’agence compris).

Avec les frais de notaire, le coût d’un petit crédit familial et le coût de possession, le montant total s’élève à 276 717€. Une sacrée somme pour un T2 (certes très bien placé et rénové). Voici le détail :

Tableau prix d'achat T2 à Bayonne

À première vue, on peut estimer qu’une baisse de 20 000€ sur une transaction immobilière est excellente. La vérité c’est que cette agence immobilière, comme beaucoup d’autres, gonfle les prix artificiellement pour « rentrer » un bien dans son catalogue. Sans bien, pas de vente, donc l’agence fait tout pour flatter l’acheteur et signer un mandat de vente exclusif.

Si je souhaitais le revendre aujourd’hui ou dans les 2 ans à venir sans perdre d’argent, je serais forcément dans fourchette haute du prix du marché pour cette ville. Une offre de 15 000€ moins chère aurait été bien plus cohérente par rapport à l’état du marché et la valeur du bien. L’agence a bien évidemment caché le fait qu’il y avait un mauvais payeur dans la copropriété et que les fenêtres étaient à changer (8000€ TTC qui sont imputés dans le coût de possession).

N’oubliez pas, l’agence ne travaille pas pour l’acquéreur. Elle ne travaille que pour le vendeur et pour sa commission.

leçons tirée de l'expérience de négociation

L’affaire n’est pas mauvaise, mais elle n’est pas bonne non plus, car je dois attendre au moins 2 ou 3 ans pour rentrer dans mes frais, et 5 ans ou plus pour faire une plus-value ! D’ici là, j’aurai certainement des travaux importants de modernisation à faire.

J’ai donc décidé de vous partager 12 techniques qui vont vous permettre de faire baisser le prix d’achat et donc de réaliser une bonne opération à coup sûr !

😎 12 Techniques de négociation pour faire baisser le prix

1. Poser les bonnes questions

poser les bonnes questions

Rodolphe1, expert immobilier, rappelle que « celui qui pose les questions mène la négociation ». En effet, poser les bonnes questions vous permet de comprendre la situation du vendeur et d’adapter votre offre en conséquence. Voici trois questions essentielles à poser :

  1. Depuis combien de temps possédez-vous ce bien ?
  2. Pourquoi vendez-vous ce bien ?
  3. Depuis quand ce bien est-il à la vente ?

Ces questions permettent de révéler des informations essentielles sur le bien et la motivation du vendeur. Par exemple, si le bien est en vente depuis longtemps, cela peut signifier que le vendeur est ouvert à des offres plus basses.

2. Évaluer la situation du vendeur

Évaluer la situation du vendeur

Une fois que vous avez obtenu les réponses à ces questions, il est crucial d’évaluer la situation personnelle du vendeur. Rodolphe insiste sur l’importance de comprendre les motivations derrière la vente.

Par exemple, si le propriétaire est pressé de vendre pour des raisons financières ou en raison d’un déménagement, il sera probablement plus enclin à accepter une offre en dessous du prix affiché. Un bien laissé vide coûte également de l’argent au vendeur (taxes, entretien, etc.), ce qui peut jouer en votre faveur lors de la négociation.

3. Identifier les motivations profondes du vendeur

Identifier les motivations profondes

Rémi Roche2, autre expert en immobilier, souligne que comprendre les motivations émotionnelles du vendeur est également clé pour réussir une négociation. « Les biens immobiliers sont souvent chargés d’émotions, liés à des souvenirs de famille, des étapes de vie comme des divorces, des décès ou des mutations. » Il est important de montrer de l’empathie envers le vendeur et d’adopter une attitude patiente. Cela permet de construire une relation de confiance, où le vendeur peut être plus ouvert à discuter du prix.

Rémi ajoute qu’il est essentiel d’être humain, d’écouter le vendeur et de comprendre ses enjeux émotionnels. Dans de nombreux cas, il ne s’agit pas seulement de chiffres, mais d’une situation de vie personnelle à laquelle il faut prêter attention.

4. Proposer un prix minimum acceptable

7_Proposer un prix minimum acceptable

Rodolphe conseille également de demander au vendeur son prix minimum acceptable dès les premières discussions. Cela peut vous permettre d’établir une première réduction du prix et de gagner du terrain pour les négociations futures. Si cette première réduction n’est pas significative, c’est déjà un pas dans la bonne direction.

Il est important de ne jamais accepter le prix affiché sans tenter de négocier. Vous serez surpris de constater que même une petite diminution peut représenter une économie substantielle à long terme, surtout si vous financez l’achat par un prêt immobilier.

5. Créer un sentiment d’urgence

8_Créer un sentiment d'urgence

Une technique de négociation efficace consiste à introduire un élément d’urgence dans vos discussions. Vous pouvez, par exemple, indiquer une date limite pour votre offre d’achat.

Selon Rodolphe, cela met la pression sur le vendeur pour qu’il prenne une décision rapidement, en particulier s’il est pressé de vendre pour des raisons financières ou logistiques. Une validité d’offre de 7 jours est généralement suffisante pour inciter un vendeur à se décider rapidement, surtout s’il n’a pas reçu d’autres offres concurrentes.

6. Se préparer techniquement et juridiquement

Préparation technique et juridique

Avant d’entamer une négociation, Rémi recommande de bien se préparer en analysant les aspects techniques et juridiques du bien. Cela comprend la vérification de la conformité du bien, l’existence d’éventuelles charges de copropriété, et la possibilité de travaux à venir. En maîtrisant ces informations, vous pouvez mettre en avant certains points faibles du bien pour justifier votre offre plus basse.

7. S’appuyer sur les problématiques du marché local

S'appuyer sur le marché local

La connaissance du marché immobilier local est une arme puissante dans la négociation. Faites des recherches sur les prix des biens similaires dans le quartier. Si vous trouvez que le bien que vous convoitez est surévalué par rapport à d’autres propriétés comparables, vous pouvez utiliser ces informations comme argument pour faire baisser le prix.

Yoni , autre marchand de biens3, met en avant l’importance d’une bonne connaissance du marché et de la loi des grands nombres. « Plus vous faites d’offres, plus vous avez de chances de réussir. » Multiplier les visites et les offres vous donne une meilleure perspective des prix et des possibilités de négociation.

8. Avoir un accord de principe de votre banque

Accord de principe bancaire

Pour renforcer votre position de négociateur, Rodolphe suggère d’obtenir un accord de principe de votre banque avant même de commencer à négocier. Cet accord pour l’octroi d’un crédit immobilier montre au vendeur que vous êtes un acheteur sérieux et que vous avez les moyens de finaliser l’achat rapidement. Cela peut le motiver à accepter une offre plus basse, car il sera rassuré par la solidité de votre financement.

Si vous payez comptant, la question ne se pose pas et l’argument est encore plus fort. Vous pouvez ainsi négocier encore plus.

9. Utiliser le timing à votre avantage

Utiliser le timing à votre avantage

Le timing est un élément crucial de la négociation. Rémi conseille de surveiller le moment où le bien est mis en vente et l’évolution des prix dans le temps. Par exemple, si un bien est sur le marché depuis plusieurs mois sans se vendre, cela peut être un indicateur que le vendeur est prêt à baisser son prix pour conclure rapidement.

Les périodes de l’année influencent également les transactions immobilières. En général, le marché est plus calme en fin d’année, ce qui peut être une opportunité pour les acheteurs de faire de meilleures affaires.

10. Détachement émotionnel ou sous-traitance

13_Détachement émotionnel

Une des règles les plus importantes de la négociation est de ne pas se laisser dominer par ses émotions. Si vous êtes trop attaché au bien, vous risquez de perdre votre objectivité, ce qui peut nuire à vos capacités de négociateur.

Rodolphe conseille, dans ces cas, de demander à un proche ou à un négociateur professionnel de vous assister dans les discussions. Un regard extérieur peut vous aider à rester concentré sur vos objectifs financiers sans être influencé par l’aspect émotionnel de la transaction.

11. Être ferme sur ses conditions

Fermeté sur les conditions

Il est tentant d’assouplir ses exigences face à un vendeur réticent. Cependant, Rémi insiste sur l’importance de rester ferme sur ses conditions. Si vous avez fixé un plafond de prix ou des exigences particulières (comme la réparation de certains défauts du bien), tenez-vous-en à ces critères. C’est votre crédibilité qui est en jeu.

Un vendeur peut souvent essayer de tester votre flexibilité, mais en restant ferme, vous montrez que vous savez ce que vous voulez et que vous êtes prêt à passer à autre chose si vos conditions ne sont pas respectées.

12. Multiplier les opportunités

15_Multiplier les opportunités

Yoni souligne l’importance d’appliquer la loi des grands nombres en multipliant les visites et les offres. Plus vous vous exposez à différentes opportunités, plus vous avez de chances de tomber sur un vendeur disposé à négocier.

Si une négociation échoue, passez rapidement à la prochaine. Ce processus vous permet de rester en contrôle et d’éviter de vous précipiter sur une seule opportunité.

🤯 Attention, ceci pourrait vous faire rater une opportunité

Lors de la négociation du prix d’achat d’une maison ou d’un appartement, certaines erreurs peuvent compromettre vos chances d’obtenir un bon accord ou même vous faire rater l’opportunité. Voici les principales choses à éviter absolument :

Dévaloriser le bien d’entrée de jeu

Visiter un bien en dénigrant la décoration, l’état de la cuisine ou la luminosité peut braquer le vendeur. Par ailleurs, cela montre un manque de sérieux et de maturité de votre part. Vous devez comprendre que l’objectif du propriétaire est de vendre et pas de débattre de vos goûts ou de l’état du bien.

Montrer trop d’enthousiasme ou d’attachement émotionnel

Il est essentiel de ne pas montrer au vendeur que vous êtes trop attaché au bien. Si le vendeur perçoit que vous êtes déterminé à acheter cette propriété à tout prix, il sera moins enclin à négocier. Gardez une attitude professionnelle et maîtrisée, même si vous êtes très intéressé par le bien. Cela vous permet de conserver un levier de négociation.

Manquer de préparation

Arriver à une négociation sans avoir fait vos devoirs est l’une des erreurs les plus courantes. Cela signifie ne pas connaître le marché local, ne pas être au courant des prix des biens similaires, et ne pas comprendre les aspects techniques et juridiques du bien. Une bonne préparation vous donne des arguments solides pour justifier une offre plus basse et démontre que vous êtes un acheteur informé.

Faire une offre trop basse sans justification

Bien qu’il soit important de négocier, proposer un prix ridiculement bas sans explication ou justification peut vexer le vendeur et l’inciter à refuser de continuer les négociations. Si vous faites une offre plus basse, appuyez-la sur des faits concrets : l’état du bien, des problèmes techniques, ou une comparaison avec des biens similaires sur le marché.

Être trop agressif ou impoli

La négociation est un art qui demande diplomatie et respect. Adopter une attitude trop agressive ou donner l’impression d’être arrogant peut rapidement faire échouer une négociation. Le vendeur est également humain, et il peut décider de ne pas poursuivre les discussions si vous ne lui montrez pas du respect. Soyez ferme sur vos positions, mais toujours courtois et compréhensif.

Négocier sans être prêt financièrement

Si vous négociez sans avoir un accord de principe de votre banque ou sans être sûr d’avoir le financement nécessaire, vous prenez un risque important. Le vendeur pourrait perdre confiance en votre capacité à conclure la transaction et choisir un autre acheteur plus préparé.

Montrez que vous êtes un acheteur sérieux en ayant vos finances en ordre avant d’entrer dans la phase de négociation.

Attendre trop longtemps pour faire une offre

Dans un marché immobilier dynamique, attendre trop longtemps pour faire une offre après avoir visité une propriété peut signifier que quelqu’un d’autre passera avant vous. Si un bien vous intéresse et que vous avez fait vos recherches, ne tardez pas à faire une offre. Le timing est souvent crucial pour ne pas rater une opportunité.

Ignorer les motivations du vendeur

Ne pas tenir compte des raisons pour lesquelles le vendeur souhaite vendre peut être une erreur. Par exemple, un vendeur pressé à cause d’un déménagement ou d’une situation financière difficile pourrait être plus ouvert à une négociation rapide et à des concessions.

Comprendre ses motivations vous permet d’adapter votre stratégie et d’éviter de faire une offre qui ne tiendrait pas compte de ses priorités.

Ne pas suivre les étapes légales correctement

Omettre certaines vérifications juridiques ou administratives peut retarder la vente et décourager le vendeur. Assurez-vous de respecter toutes les étapes légales et administratives et de les suivre de près. Par exemple, un retard dans l’obtention de documents ou la signature d’actes pourrait créer de la frustration chez le vendeur et mettre l’accord en péril.

Multiplier les offres sans sincérité

Bien que la multiplication des opportunités soit importante, faire de nombreuses offres à la légère, sans réelle intention d’achat ou sans respecter les règles de négociation, peut nuire à votre réputation sur le marché immobilier. Les agents immobiliers et les vendeurs peuvent commencer à vous percevoir comme quelqu’un de peu fiable, ce qui pourrait limiter vos chances de réussir dans les futures négociations.

🤓 Conclusion

Négocier avec le vendeur le prix d’un bien immobilier est un art qui demande préparation, empathie, et stratégie. En appliquant les conseils partagés par Rodolphe, Rémi, Yoni et moi-même, vous pourrez améliorer vos chances d’obtenir un bien à un prix plus avantageux.

Que vous utilisiez des techniques comme l’empathie, l’analyse du marché ou la création d’un sentiment d’urgence, chaque étape vous rapprochera de votre objectif : acquérir un bien immobilier à un prix juste et rentable.

Gardez en tête que la clé d’une négociation réussie est de rester courtois et respectueux tout au long du processus. Bonne chance dans vos négociations et futurs achats immobiliers !

  1. Monsieur Rodolphe, Secrets de Négociation: 5 Techniques pour Faire Baisser Le Prix de Votre Achat Immobilier, https://www.youtube.com/watch?v=FPptOyPBRO4 []
  2. Rémi Roche, Comment NÉGOCIER un bien immobilier ? (3+1 TECHNIQUES de PRO) 🤑 , https://www.youtube.com/watch?v=sRKEbG3Fjbo []
  3. Yoni, Comment faire baisser le prix d’un bien immobilier ! 5 astuces de pro, https://www.youtube.com/watch?v=ZNR6fx-ehwo []

En octobre 2024, une annonce marquante a résonné dans l’univers des fintechs françaises. Kard, l’application d’argent de poche destinée aux adolescents, a été reprise par Eric Lassus, pionnier des fintechs européennes, sous l’égide de THK Capital, son fonds d’investissement.

Cette acquisition s’inscrit dans une stratégie visant à accélérer la croissance de l’entreprise sur un marché concurrentiel, et à renforcer son rôle social dans l’éducation financière des jeunes.

Un marché en pleine mutation

Le secteur des fintechs ciblant les jeunes a vu un essor fulgurant ces dernières années. Avec la digitalisation des modes de paiement et l’essor des applications mobiles, les besoins des familles en matière de gestion d’argent de poche ont évolué. Kard, fondée en 2019 par Scott Gordon et Amine Bounjou, a su se positionner comme un acteur incontournable dans ce domaine en proposant une solution innovante adaptée à la fois aux parents et aux enfants.

Kard se distingue par son approche éducative, permettant aux adolescents de 6 à 17 ans de gérer leur argent de poche via une carte Mastercard et une application dédiée. Les parents disposent d’une interface de contrôle leur permettant de suivre et d’orienter les dépenses de leurs enfants. Cette solution a séduit plus de 200 000 clients en France, un chiffre qui témoigne de son succès initial. Pourtant, malgré son innovation, Kard a traversé des difficultés financières, ce qui a conduit ses fondateurs à rechercher de nouvelles opportunités pour assurer la pérennité de l’entreprise.

Une acquisition stratégique pour THK Capital

Le 3 octobre 2024, THK Capital, dirigé par Eric Lassus, a acquis 90 % de Kard, le reste étant détenu par Julien Delamorte. Cette acquisition marque un tournant décisif dans l’histoire de l’entreprise. THK Capital, qui soutient déjà quatre autres fintechs à fort impact social, se donne pour mission de promouvoir des solutions financières innovantes et inclusives, en particulier pour les nouvelles générations.

Pour Lassus, ce rachat représente bien plus qu’un simple investissement. Avec une expérience de plus de 25 ans dans l’écosystème fintech européen et après avoir co-fondé des réussites telles que Treezor (vendue à la Société Générale en 2019), il apporte à Kard son expertise, son réseau, et une vision claire du futur. Dans le cadre de cette nouvelle aventure, Lassus voit une opportunité de continuer à développer des projets ayant un impact social fort, en particulier pour les jeunes générations.

« Nous sommes enthousiastes que Kard rejoigne THK Capital », a déclaré Scott Gordon, CEO de Kard. « Cette nouvelle étape va propulser notre projet vers une phase de croissance accélérée, en lui ouvrant de nouvelles perspectives de développement au sein d’un écosystème à forte valeur sociale. »

L’expérience d’Eric Lassus : un atout pour le futur

Eric Lassus

Eric Lassus

Eric Lassus est un visage bien connu dans le monde des fintechs, ayant cofondé et dirigé Treezor, l’une des plateformes de Banking-as-a-Service les plus influentes d’Europe. Sous sa direction, Treezor est devenue une référence incontournable pour les entreprises cherchant à offrir des services financiers modernes et sécurisés. La vente de Treezor à la Société Générale en 2019 a été un coup d’éclat, propulsant Lassus au rang des entrepreneurs les plus influents du secteur.

Fort de cette réussite, Lassus a fondé THK Capital, un fonds d’investissement orienté vers le soutien aux fintechs à impact social. L’acquisition de Kard s’inscrit dans cette logique, offrant à l’entreprise les moyens de poursuivre son développement tout en s’intégrant dans un réseau de fintechs partageant les mêmes valeurs.

Selon Lassus, « Cette alliance nous permettra d’accélérer non seulement le développement de KARD, mais aussi des quatre autres fintechs, en mutualisant nos savoirs, compétences et équipes. Nous renforcerons notre mission de création de valeur sociale, notamment en démocratisant l’accès aux services financiers. »

Une nouvelle phase de croissance pour Kard

Kard se positionne ainsi pour une phase de croissance accélérée, grâce à l’apport stratégique de THK Capital. L’intégration au sein de ce groupe permet à Kard de bénéficier de synergies avec d’autres fintechs innovantes telles que Finense, Tifo, Handsome, et Heptalytics, toutes orientées vers des solutions financières modernes et responsables.

L’objectif pour Kard est clair : devenir un acteur majeur de l’éducation financière pour les jeunes, tout en élargissant son offre et en renforçant sa présence sur un marché en plein essor. Avec les ressources et le soutien de THK Capital, Kard est désormais mieux armée pour relever les défis qui l’attendent et pour se démarquer dans un secteur hautement concurrentiel.

« Nous renforcerons significativement notre mission de création de valeur sociale, » a souligné Lassus, insistant sur le rôle crucial que jouent les fintechs dans la démocratisation de l’accès aux services financiers pour les jeunes générations. Il a également annoncé l’arrivée de nouvelles innovations majeures, sans pour autant dévoiler de détails précis.

Un modèle économique solide

Si Kard a connu des difficultés financières dans le passé, le soutien de THK Capital vient à point nommé pour stabiliser et renforcer ses bases. La fintech, qui avait déjà levé plus de 15 millions d’euros auprès de business angels et de Founders Future, bénéficie désormais de nouveaux moyens pour poursuivre son expansion.

Avec une offre tarifaire attractive et adaptée aux familles, Kard se positionne sur un segment porteur : celui des services bancaires pour les enfants et adolescents. L’offre inclut une carte Mastercard personnalisable et une application mobile permettant un suivi en temps réel des dépenses, un contrôle parental et des fonctionnalités d’épargne. La capacité de Kard à offrir un produit simple, sécurisé et éducatif à un coût réduit (à partir de 2,99 € par mois) est un atout majeur dans un secteur où la concurrence s’intensifie.

Conclusion

Avec cette acquisition, Kard s’offre une nouvelle chance de croissance et de pérennité. Sous la houlette d’Eric Lassus et de THK Capital, l’entreprise a désormais les moyens de se redéployer sur le marché, tout en restant fidèle à sa mission première : offrir aux adolescents une éducation financière accessible et sécurisée. Cette nouvelle dynamique, couplée à l’expérience éprouvée de Lassus, promet de propulser Kard vers de nouveaux sommets. Alors que la concurrence se renforce, l’avenir s’annonce prometteur pour cette fintech à fort potentiel.

Kard est-elle en faillite ?

Non, Kard a été placé en redressement judiciaire en juillet 2024 mais n’est pas en faillite. L’entreprise est depuis été reprise par un investisseur et repreneur solide.

Le 23 juillet 20241 était annoncé le jugement prononçant l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire à l’encontre de Kard. La néobanque était entrée en cessation de paiements dès le 15 mars 2024.

Depuis ce jugement, un avocat a été désigné2 pour assister Kard dans tous les actes de gestion. Kard a connu une croissance plus qu’honorable depuis le lancement de son application de gestion de l’argent de poche en 2019 avec plus de 250.000 clients en 5 ans d’existence. Toutefois, cela n’aura pas suffi à compenser une perte de 6,25 millions d’euros en 2022 et probablement beaucoup plus en 2023.

Le 20 août 2024, un nouveau jugement a prononcé la liquidation judiciaire3 de la société KARD. Le jugement autorise le maintien de l’activité jusqu’au 31 octobre 2024.

Depuis, Kard a été repris par Eric Lassus et son fonds d’investissement.

Kard est-elle fiable et dois-je retirer mon argent ?

Depuis sa reprise, Kard a retrouvé un très haut niveau de fiabilité. L’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire n’a jamais signé la faillite de Kard. Les comptes ne seront donc pas bloqués.

Par ailleurs, les dépôts des clients de Kard sont gérés par Okali (Groupe Crédit Agricole) et non pas par Kard. Cela signifie que les fonds sont garantis pas la Banque de France à hauteur de 100.000€ en cas de cessation d’activité d’Okali. Il n’y a donc aucune inquiétude à avoir quant à la perte potentielle d’argent. En cas de doute, vous pouvez cosulter la liste des alternatives à Kard et des offres du moment : https://www.spendways.com/liste/compte-bancaire/mineur-ado.

  1. Annonce n° 3969 du BODACC A n° 20240150 publié le 04/08/2024, bodacc.fr, https://www.bodacc.fr/pages/annonces-commerciales-detail/?q.id=id:A202401503969 []
  2. l’administrateur SELARL Fhb, en la personne de Maître Théophile Fornacciari, est désigné avec les pouvoirs d’assister le débiteur pour tous les actes de gestion []
  3. Annonce n° 1590 du BODACC A n° 20240168 publié le 30/08/2024 , bodacc.fr, https://www.bodacc.fr/pages/annonces-commerciales-detail/?q.id=id:A202401681590 []

Moins connue que BoursoBank, Fortuneo n’en reste pas moins une banque en ligne gratuite d’une qualité exceptionnelle. Avec son million de clients prestigieux, elle peut se targuer d’offrir un service client et des prestations bancaires qui surpassent celles les autres banques et néobanques.

Fortuneo Banque offre par ailleurs le parrainage et les primes de bienvenue les plus généreux. Découvrez la prime de bienvenue du moment.

Prime de bienvenue exceptionnelle en ce moment

Fortuneo

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Fortuneo Banque est la deuxième banque en ligne française. Carte classique, Gold, World Elite ou American Express.

Score Spendways : 4.8/5

  • Cartes American Express en option
  • Élue meilleure banque 2022
  • Service client 7j/7
🔥 Jusqu'à 330€ d'avantages offerts
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🏦 Fortuneo : toujours aussi bien en 2025 ?

Fortuneo banque est la seconde banque en ligne française en termes de clients :

  1. BoursoBank : 6,3 millions de clients
  2. Fortuneo : 1,2 million de clients 👈
  3. Hello bank! : 800 000 clients
  4. Monabanq : 320 000 clients
  5. BforBank : 200 000 clients

Au-delà du nombre de clients, c’est bien le positionnement de Fortuneo qui la distingue des autres banques en ligne. En effet, le parti a été pris de fournir des services haut de gamme à une clientèle aisée.

Côté carte bancaire par exemple, Fortuneo propose la Gold Mastercard ainsi que la Mastercard World Elite dont les plafonds élevés et les assurances couvrent très bien leurs titulaires.

Il faudra toutefois prouver respectivement 1800 et 4000 euros de revenus nets (salaire ou autre) pour prétendre à ces deux cartes bancaires prestigieuses. Pour les grands voyageurs, il est également possible de souscrire à une carte bancaire American Express, plutôt qu’une Mastercard, à un tarif préférentiel.

Avis clients fortuneo App Store google play et TrustPilot

Avantages de Fortuneo

  • Cartes bancaires premium gratuites (sous condition de revenus) ;
  • Paiements et retraits sans frais dans le monde entier ;
  • Tous les services bancaires peuvent être retrouvés chez Fortuneo ;
  • Service client en France ;
  • Possibilité d’acquérir une carte bancaire American Express pour bénéficier de meilleures assurances et d’avantages à l’étranger (Cashback, miles, etc.).

Inconvénients de Fortuneo

  • L’application mobile est bien conçue, mais elle n’est pas aussi puissante qu’une néobanque comme Revolut par exemple ;
  • Les avis TrustPilot mettent en avant les déceptions suite à une prime de parrainage non versée. Pour être certain de bénéficier d’une prime à l’inscription, utilisez le lien ci-dessous :

spendways.io/fortuneo (avec prime de *** euros)

Avis général sur Fortuneo

En résumé, on peut dire que Fortuneo est toujours une excellente banque en ligne gratuite qui se distingue de toutes les autres par le fait qu’elle ne se contente pas de tirer les prix vers le bas. Elle propose d’emblée des cartes, des placements, une application et un service client haut de gamme. Sur l’AppStore, Fortuneo est notée 4,5/5.

🤔 Parrainage Fortuneo : comment ça marche ?

Le parrainage Fortuneo consiste à inviter un proche à ouvrir un compte Fortuneo, avec un code de parrainage, afin de lui faire bénéficier d’une prime de bienvenue. Du même fait, le parrain profite lui aussi d’une récompense d’un montant équivalent.

Le montant de la prime varie selon l’offre souscrite par le filleul sachant que certaines de ces primes sont cumulables :

Offre de parrainage fortuneo

Voici les 3 étapes à suivre pour parrainer un proche ou se faire parrainer par un proche :

  1. Le parrain transmet son code parrain (disponible dans son espace client ou son application mobile).
  2. Le filleul renseigne le code parrain au moment de sa souscription.
  3. Le filleul doit verser la somme demandée (300€ en général) sur le compte dans les 6 jours
  4. Fortuneo verse la prime dans un délai maximal de 3 mois suivant l’ouverture de compte sous réserve du respect des conditions de l’offre.
    Dans les conditions générales, Fortuneo se donne trois mois pour verser les fonds.

    Foire aux questions, fortuneo.fr

👮 Quelles sont les conditions à respecter ?

✅ L’offre de parrainage est valable uniquement sous les conditions suivantes :

  • Le produit souscrit doit être un compte bancaire, un contrat d’assurance-vie ou un compte bourse (compte-titres ordinaire, PEA ou PEA-PME).
  • Les personnes éligibles doivent être des personnes physiques majeures, domiciliées en France et ayant le statut de résident fiscal français (parrains et filleuls).
  • Le parrain doit posséder au minimum 500 € d’encours global (tous comptes confondus) au moment de l’ouverture du compte du filleul.
  • Le filleul ne doit jamais avoir souscrit un compte ou contrat Fortuneo.
  • Le parrain peut parrainer jusqu’à 10 filleuls par an.
  • Le filleul doit renseigner le code de son parrain (séquence numérique) au moment de son inscription.
  • Le filleul doit déposer entre 300€ pour un compte courant ou 1000€ pour une assurance vie ou un produit boursier.

❌ Les cas suivants sont exclus :

  • Le filleul a déjà été client auparavant
  • Le parrain n’a pas d’argent sur son compte courant ou son compte épargne
  • Le parrain a déjà parrainé 10 filleuls durant l’année en cours.
  • Le filleul souscrit à un produit non éligible comme un compte indivis, un compte démembré, un compte pour mineur ou association, un compte détenu par une personne morale, un Livret +, un Livret+ Enfant le Livret A, un LDDS, une carte bancaire World Elite CB Mastercard, une assurance auto ou un crédit immobilier.

Pour information, la plupart des offres exceptionnelles Fortuneo ne sont pas cumulables avec l’offre de parrainage.

😊 Comment se faire parrainer ? 3 manières d’obtenir une prime

Le parrainage prend plusieurs dimensions. On pense généralement à se faire parrainer par un proche, déjà client de la banque en ligne. Ce n’est toutefois pas l’unique option. C’est donc une bonne nouvelle si personne autour de vous n’est déjà client Fortuneo.

Voici les 3 façons d’obtenir une prime de bienvenue.

1. Par un client Fortuneo

parrainage client fortuneo

La première manière est donc la plus courante. Il s’agit de demander le code de parrainage à un proche ou à une personne inconnue via un site d’échange de code promo comme super-parrain.com, 1parrainage.com, code-parrainage.net.

Avantages :

  • Permet de trouver un code parrainage sans avoir de proche client de Fortuneo

Inconvénient :

  • Seule la prime minimum de 50€ est proposée
  • Les conditions d’obtention de la prime sont très strictes (voire trop strictes)
  • Les sites de parrainages sont souvent frustrants (trop de pub, de pop up, et de faux codes promo)

2. Par Spendways

offre limitée fortuneo sur spendways

La seconde option est d’utiliser le lien Spendways suivant : spendways.io/fortuneo

Ce lien permet de bénéficier de l’offre maximale en cours. De base, elle est de 80€ mais peut monter jusqu’à 200€ !

Avantages :

  • Permet de bénéficier de la prime de bienvenue maximum en cours ;
  • Pas besoin de se faire parrainer ;
  • Le lien peut être partagé partout ;
  • Les offres sont disponibles avant la parution publique sur le site de Fortuneo ;
  • Conditions de validité beaucoup plus souples.

Inconvénients :

  • Offres conditionnées à un ou à une combinaison de produits (ex: 1 compte + 1 carte Gold) ;

Fortuneo

0,00 /mois

Fortuneo Banque est la deuxième banque en ligne française. Carte classique, Gold, World Elite ou American Express.

Score Spendways : 4.8/5

  • Cartes American Express en option
  • Élue meilleure banque 2022
  • Service client 7j/7
🔥 Jusqu'à 330€ d'avantages offerts
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3. Par Fortuneo directement

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Fortuneo affiche généralement les offres en cours sur son site ainsi que sur les publicités TV et Internet. Vous pouvez donc attendre la sortie d’une offre pour vous inscrire à Fortuneo.

Avantages :

  • Pas besoin de parrain ni de site comme Spendways (direct avec Fortuneo) ;

Inconvénients :

  • Seules les quelques offres exceptionnelles sont mises en avant ;
  • Il faut attendre la parution d’une offre pour s’inscrire.

🤨 Questions fréquentes sur la prime de parrainage Fortuneo

Quel est le montant de la prime de parrainage ?

Le montant de la prime de parrainage est de 50€ pour le filleul (et la même chose pour le parrain) par défaut.

Toutefois, la banque en ligne Fortuneo propose des primes exceptionnelles plusieurs fois par an. En ce moment, vous pouvez gagner jusqu’à 130€ avec le lien Spendways : spendways.io/fortuneo.

Combien gagne le client parrainé ?

Le nouveau client parrainé gagne entre 50€ et 200€ en fonction de la prime de bienvenue en cours. Pour en bénéficier, il faut suivre toutes les règles d’éligibilité au programme.

Combien gagne le parrain ?

Le parrain gagne généralement la même somme que le filleul à savoir 50€ minimum, et jusqu’à 200€ pour les primes les plus généreuses.

Quelles sont les conditions pour bénéficier du parrainage ?

Pour bénéficier du parrainage, le parrain doit obligatoirement :

  • Posséder au minimum 500 € d’encours global (tous comptes confondus) au moment de l’ouverture du compte du filleul.
  • Ne pas dépasser plus de 10 parrainages par an.

De plus, le filleul doit :

  • Souscrire à un compte bancaire, un contrat d’assurance-vie ou un compte bourse (compte-titres ordinaire, PEA ou PEA-PME).
  • Être une personne physique majeure, domiciliée en France et ayant le statut de résident fiscal français (parrains et filleuls).
  • Ne jamais avoir souscrit un compte ou contrat Fortuneo.
  • Renseigner le code de son parrain (séquence numérique) au moment de son inscription.
  • Déposer entre 300€ pour un compte courant ou 1000€ pour une assurance vie ou un produit boursier.

Comment parrainer un proche ?

Pour parrainer un proche, un client Fortuneo doit faire ceci :

  • Ouvrir son application mobile et se rendre sur « parrainage »
  • Copier le code parrain (séquence de chiffres)
  • Fournir ce code au filleul pour qu’il le saisisse au moment de son inscription.

Quand touche-t-on la prime Fortuneo ?

La prime est versée dans un délai de 3 mois après la validation du compte bancaire et des conditions d’éligibilité.

BoursoBank offre-t-elle une meilleure prime de parrainage ?

Les primes exceptionnelles sont plus rares chez Fortuneo mais elles sont souvent plus généreuses. Voici un comparatif des deux néobanques qui met en évidence les différences entre les deux offres :

Offre Prix Conditions Note clients Avantages Inconvénients Plafond de paiement Plafond de retrait Code promo et offre Ouvrir un compte
Fortuneo

Fortuneo
0,00 /mois 1 800 € de revenus nets mensuels ou 10 000 € d'épargne, 18 ans et plus, 4 000 € de revenus nets mensuels, Résident français
  • Rédaction : 4.8
  • Clients : 3.56
  • Cartes American Express en option
  • Élue meilleure banque 2022
  • Service client 7j/7
  • Gratuité des cartes sous condition d'utilisation minimum (cf tarifs)
2 000€ /jour, 3 000€ /jour 1 000€ /semaine, 1 600€ /semaine, 500€ /semaine Jusqu'à 330€ d'avantages offerts FTN1124 En savoir plus
BoursoBank

BoursoBank
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  • Rédaction : 4.6
  • Clients : 4.00
  • Très complet et fiable
  • Banque la moins chère
  • Épargne rémunérée et produits d'investissement sérieux
  • Impossible de changer le code PIN de sa carte
  • Trop de friction dans l'application
  • Service client de plus en plus difficile à joindre par téléphone
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Savoir gérer un budget permet d’améliorer significativement son quotidien tout en se construisant une sécurité financière. La méthode des 50-30-20 est redoutablement efficace pour cela. Elle a la fois simple à intégrer pour tout le monde, et extrêmement pertinente pour un budget familial au mois le mois. Visualisons cela comme un diagramme circulaire :

  • 50 % pour les besoins,
  • 30 % pour les envies
  • et 20 % pour les économies ou le remboursement des dettes.

Comment gérer un budget familial ?

Un budget familial se gère en maitrisant la répartission des revenus nets (après impots et taxes) en fonction de 3 types de dépenses : les besoins, les achats plaisir et l’épargne.

Les besoins (50%)

Les besoins incluent les dépenses essentielles comme les courses, le logement (loyer ou hypothèque), l’assurance santé et les services publics. Un besoin est quelque chose dont vous ne pouvez pas vous passer sans subir une grande gêne. 50% des revenus nets doivent être alloués à ces dépenses.

Les achats plaisirs (30%)

Les achats plaisirs sont des dépenses qui améliorent votre qualité de vie mais ne sont pas essentielles. Cela inclut le shopping, les sorties au restaurant et les loisirs comme le jardinage ou le montage vidéo. Il ne faut pas dépasser 30% de son budget sur ce type de dépenses.

L’épargne et le remboursement des dettes (20%)

Les économies et le remboursement des crédits à la consommation et immobilier représentent les derniers 20 %. Cela comprend la constitution d’un fonds d’urgence couvrant six à douze mois de dépenses, le remboursement des cartes de crédit et des prêts étudiants, ainsi que l’épargne retraite.

Il est crucial d’écrire tout cela pour comprendre où va chaque dollar après impôts. Beaucoup de gens se retrouvent endettés car leurs envies empiètent sur leurs besoins. En suivant cette répartition, vous pouvez mieux gérer vos finances.

Avec les incertitudes sur le régime des retraites et l’augmentation constante des prix, il est indispensable de commencer à investir. La première étape pour investir est d’épargner régulièrement. Cependant, la plupart des gens commettent cinq erreurs qui les empêchent d’épargner et de se constituer un patrimoine. Que vous gagniez 1500€ ou 6000€ par mois, les problématiques sont les mêmes.

Erreur 1 : sous estimer l’importance de l’épargne

La première erreur est de ne pas comprendre l’importance de l’épargne. En France, bien que nous soyons bons en termes d’épargne (20,6% du salaire), la majorité de cette épargne est placée sur des comptes qui ne rapportent presque rien. Selon une étude de l’AMF, beaucoup de Français considèrent que le compte courant et les livrets sont de bons placements, mais ils ne permettent pas de booster votre patrimoine en raison de l’inflation. Par exemple, avec une inflation à 4,9%, un livret à 3% érodera votre pouvoir d’achat.

Le deuxième problème est l’importance des intérêts composés. Investir tôt et régulièrement sur des supports rapportant, comme la bourse (environ 6% par an), peut transformer 100 euros investis chaque semaine en 740 000 euros après 40 ans, contre seulement 192 000 euros sur un compte courant.

Erreur 2 : ne pas se fixer d’objectifs

La deuxième erreur est de ne pas avoir d’objectif précis. Sans objectif, il est difficile de mettre en place les bonnes actions pour épargner et créer de la richesse. Fixez-vous un objectif clair et calculez combien épargner chaque mois pour l’atteindre.

Erreur 3 : ne pas suivre son budget

La troisième erreur est de ne pas suivre ses finances. Suivre vos dépenses permet d’identifier les dépenses inutiles et d’ajuster votre budget. Utilisez un cahier, une application bancaire ou une app dédiée pour suivre vos finances.

Erreur 4 : manquer de méthode

La quatrième erreur est de ne pas maîtriser ses dépenses non essentielles (méthode 50-30-20). Distinguez entre les dépenses discrétionnaires (non nécessaires) et stratégiques (bénéfiques à long terme). Investissez dans ce qui a un impact positif à long terme comme la formation ou l’alimentation bio.

Erreur 5 : attendre pour épargner

La cinquième erreur est d’attendre la fin du mois pour épargner. Payez-vous en premier en mettant en place des virements automatiques vers vos comptes d’épargne dès que vous recevez votre salaire.

Quel est le meilleur logiciel de gestion de budget familial ?

Parmi les meilleurs logiciels et applications de gestion de budget, les noms ci-dessous sont cités très régulièrement :

  • Finary
  • Bankin’
  • Linxo
  • Wallet
  • Budgea
  • Maxicompte
  • 1Money
  • Fast Budget

Il tient à vous de les terster et d’en apprécier les fonctionnalités.

Modèle excel de budget familial

Pour commencer, vous n’avez pas forcément besoin d’investir dans un logiciel ou une application mobile. Cet exemple de tableur Google Sheet peut tout à fait vous permettre de faire un suivi de manière efficace et agréable.

Comment économiser de l’argent ?

Pour économiser de l’argent, il est important d’être intransigeant sur les postes de dépenses récurrentes et non nécessaires. Ainsi, veillez à supprimer les abonnements comme Netflix ou Spotify, réduisez votre consommation de produits alimentaires non nécessaires (alcool, sodas, chips,…).

Il existe ensuite des astuces intéressantes pour gagner 500€ par an en remplaçant votre Box Internet par une box 4G et en chauffant moins votre logement d’un ou deux degrés.

Conclusion

En suivant ces conseils, vous pourrez mieux gérer votre budget et accélérer votre création de richesse. N’oubliez pas que l’argent doit être au service de vos objectifs. Adoptez ces bonnes pratiques pour atteindre vos rêves financiers.

Gagner de l’argent est une compétence. Lorsque vous comprenez cette compétence et les lois qui la régissent, vous n’aurez plus besoin de regarder des vidéos sur différentes idées de travail d’appoint. Vous pourrez appliquer ces principes à vos propres compétences et à votre propre vie.

Pourquoi parlons-nous de cela ? Parfois, on me dit que je suis obsédé par l’argent et que mes vidéos portent seulement sur les activités d’appoint. Ce n’est pas vrai. Je réalise aussi des articles sur la productivité, la santé, le sommeil, les relations et les rencontres. J’aime créer des articles sur les side-business et les revenus passifs car ils ont complètement changé ma vie.

Multiplier les sources de revenus

Si vous lisez cet article, c’est que vous êtes potentiellement intéressé par la création d’une autre source de revenus. Il ne s’agit pas vraiment de l’argent en soi, mais plutôt de la liberté qu’il peut vous offrir. Idéalement, votre mécanisme de génération d’argent ne devrait pas dépendre d’une seule source d’emploi. Beaucoup de personnes ont perdu leur travail pendant la pandémie et ont réalisé l’importance d’avoir plusieurs sources de revenus. Il y a eu une prise de conscience que dépendre d’une seule source de revenus n’est pas une manière très antifragile de vivre, surtout dans des pays comme les États-Unis, où l’assurance maladie est également liée à l’employeur. Ainsi, vous avez encore plus de contraintes liées au travail. Si vous aimez votre emploi et qu’il vous apporte satisfaction, tant mieux, mais vous faites partie des chanceux. Pour la plupart d’entre nous, un revenu supplémentaire est apprécié.

Avoir plusieurs sources de revenus vous permet de vivre selon vos propres termes. Vous êtes libre de faire ce que vous voulez et d’éviter ce que vous ne voulez pas faire. Dans mon cas, j’ai commencé des activités annexes dès l’âge de 13 ans avec la conception de sites Web, puis le tutorat privé en mathématiques et sciences. Ensuite, pendant mes études en médecine, j’ai créé une entreprise aidant les gens à intégrer les écoles de médecine.

Cela m’a permis de ne pas avoir à me soucier de l’argent pendant mes études et même d’acheter un appartement avec mon frère. Enfin, ma dernière activité annexe a été la création d’une chaîne YouTube en 2017 qui, après trois ans, a généré plus d’un million de dollars par an.

En résumé, diversifier vos sources de revenus peut vous offrir une plus grande liberté et sécurité financière. Alors pourquoi ne pas envisager d’explorer différentes opportunités pour améliorer votre qualité de vie ?

Le fait que la chaîne YouTube rapportait beaucoup d’argent et l’entreprise autour, qui a commencé comme un travail secondaire, m’a fait décider de prendre une pause dans la médecine à plein temps et de me consacrer entièrement à cette chaîne. C’est pourquoi je suis si passionné par les activités secondaires, car elles ont vraiment changé ma vie depuis l’âge de 13 ans jusqu’à mes 26 ans, lorsque j’ai quitté la médecine. J’espère que vous penserez aussi à commencer une activité secondaire pour avoir des sources de revenus supplémentaires. Mes amis peuvent dire que je suis obsédé par l’argent, que je suis avide, etc. Pourquoi avez-vous besoin d’argent? Pourquoi ne pas simplement apprécier votre travail et les choses simples de la vie ? Vous penserez que vous appréciez ces choses, mais vous aimez également l’idée de vivre selon vos propres règles. Ainsi, vous allez créer une source alternative de revenus.

Comment créer un revenu complémentaire ?

Passons maintenant au “comment”. Nous avons parlé de la première loi pour gagner de l’argent : on en gagne en apportant de la valeur aux personnes ravies de payer pour cette valeur. Je souligne le mot “ravi” car c’est un bon état d’esprit pour gagner de l’argent. Il y a généralement trois moyens d’apporter cette valeur : les services, les produits et le contenu. Avec une entreprise de services, vous fournissez un service à quelqu’un qui est prêt à payer pour ce service. Avec une entreprise de produits, vous créez un produit et le vendez à des personnes ravies de l’acheter. Enfin, avec une entreprise de contenu, vous créez du contenu gratuit et le mettez sur des plateformes où la monétisation se fait via la plateforme. Les annonceurs sont ainsi ravis de payer pour l’attention que vous générez grâce à votre contenu.

Dans cet article, nous avons deux idées d’activités secondaires liées au contenu et quatre liées aux services. Je ne parlerai pas des produits dans cette article, je le ferai dans une autre. nt article, car les produits représentent une catégorie intéressante. Ensuite, pour nos activités annexes, nous souhaitons qu’elles répondent à trois besoins spécifiques. Idéalement, elles doivent nous offrir de la flexibilité. Par exemple, vous ne voulez probablement pas que votre activité annexe consiste à travailler dans un supermarché local, car cela manque de flexibilité. Vous êtes lié à un lieu et à des horaires précis. Deuxièmement, nous voulons que nos activités annexes soient amusantes. Elles ne doivent pas ressembler à du travail. Si vous trouvez une activité qui vous semble ludique mais qui paraît être du travail pour les autres, vous aurez plus de chances de l’apprécier, de la pérenniser et d’en tirer un revenu conséquent. Et le troisième critère est bien sûr la rentabilité financière de l’activité annexe. Nous souhaitons que le retour sur investissement soit raisonnable à long terme.

Généralement, les activités annexes recommandées sont celles qui sont rendues possibles grâce à internet. En vendant quelque chose en ligne, qu’il s’agisse d’un produit numérique ou physique, vous bénéficiez de flexibilité car vous pouvez travailler à votre convenance; d’amusement car il existe de nombreuses façons de faire sur internet; et de rentabilité financière car vous pouvez attirer des acheteurs du monde entier.

Je vais vous montrer plusieurs exemples de personnes ayant réussi dans ce domaine. L’idée n’est pas de copier exactement ce qu’ils ont fait, mais d’apprendre de leur expérience et d’adapter leurs principes à notre propre vie, contexte, compétences et plaisir. Ainsi, nous pourrons créer une source de revenus supplémentaire.

Cela étant dit, passons maintenant aux six idées d’activités annexes pour les étudiants et voyons comment elles s’intègrent dans ce cadre général. Commençons par l’idée numéro un : être copywriter. Cela correspond parfaitement à la branche “contenu” que nous cherchons à développer.

1. Écrire

Ici, je vais utiliser l’exemple de Jack Rains, un étudiant qui a créé une excellente newsletter lorsqu’il était étudiant, et je pense qu’il est toujours étudiant à la Columbia Business School. Il y a environ deux ans, Jack a décidé de lancer une newsletter sur la finance et les voyages, des sujets qui l’intéressaient. Aujourd’hui, après plus de deux ans, il compte plusieurs dizaines de milliers de lecteurs sur son blog. Chaque fois qu’il envoie une newsletter, il peut facturer environ 1 400 $ par annonce. S’il publie quatre numéros par semaine, cela représente 5 600 $ par mois en écrivant sur Internet en tant qu’activité secondaire.

Jack suit le modèle classique de contenu d’un écrivain : écrire régulièrement et, avec le temps, construire une audience intéressée par son travail. Ensuite, il peut monétiser en vendant des parrainages à des entreprises ravies de sponsoriser sa newsletter. Mais Jack ne se limite pas à gagner de l’argent avec sa newsletter ; il gagne également grâce à des appels de consultation. Sur son site web, il propose des consultations de 45 minutes pour 300 $.

Ce modèle d’affaires solide est celui que les écrivains utilisent pour gagner de l’argent sur Internet. Pour en savoir plus sur les cinq façons de gagner un million de dollars sur Internet en tant qu’écrivain, consultez cette vidéo avec Nicholas Cole. Il a écrit un livre intitulé L’art et le business de l’écriture en ligne : comment battre le jeu de la capture et du maintien de l’attention.

L’un des avantages de l’écriture en tant qu’activité secondaire est que la barrière à l’entrée est très basse, voire nulle. Vous pouvez créer un compte gratuitement sur Substack ou Beehive et obtenir un site web sans débourser un centime. Il vous suffit d’un ordinateur ou d’un téléphone avec une connexion Internet pour commencer à écrire et toucher un public dans le monde entier, à condition que le contenu soit bon. Et par “bon”, cela signifie simplement que les gens tirent de la valeur de votre contenu. Sur ce chemin, voici un conseil clé. Si, par exemple, vous voulez contacter Jack, vous pourriez, par exemple, consulter son blog. Vous pourriez lire les 200 derniers numéros de sa newsletter, peu importe leur nombre. Ensuite, vous pourriez lui envoyer un e-mail en disant : “Salut Jack, j’ai tout lu ce que tu as écrit. Cela m’a inspiré à créer mon propre blog. J’ai écrit 10 articles sur mon blog. Voici un lien, mais je suis bloqué car j’ai des questions A, B et C. J’aimerais discuter rapidement avec toi pendant 20 minutes pour te poser ces questions. Qu’en dis-tu ?” Si quelqu’un comme Jack lisait cela, il penserait probablement : “Ce type est cool. A, il a lu tout mon contenu. Donc cela élimine presque tout le monde car personne ne prend la peine de lire. Mais en plus, tu as montré que tu travailles réellement. Les gens comme moi ou Jack sont donc plus susceptibles d’accepter de discuter avec toi car ils savent que tu as également travaillé.”

Au fait, si vous ne le saviez pas, j’ai aussi une newsletter hebdomadaire que j’écris depuis avril 2018. Je l’écris chaque semaine et elle s’appelle Sunday Snippets. Vous pouvez la consulter gratuitement dans la description de la vidéo ou aller sur alibdoll.com/sunday pour vous inscrire. Chaque semaine, je partage des réflexions, des leçons apprises et des livres que je lis ainsi que des articles recommandés. Environ 400 000 personnes reçoivent cet e-mail.

2. Curation de contenus

Passons maintenant à l’idée de travail indépendant numéro deux : être un curateur de contenu. Contrairement au créateur de contenu qui crée du contenu original, un curateur rassemble le contenu créé par d’autres personnes. Il existe plusieurs façons intéressantes de faire cela.

Un exemple est Eduardo Morales, qui a créé un compte Instagram appelé Pinlord où il collectionne et vend des pins émaillés. Eduardo a réussi à augmenter le nombre d’abonnés de Pinlord à plus de 100 000 en moins de deux ans. Selon un article, il gagne 3 500 $ par mois avec cette activité.

Il est important de noter que deux ans, c’est assez rapide. Si vous pensez que cela a pris trop de temps pour générer un revenu à temps plein, vous devez revoir vos attentes. l’argent est souvent mal compris. Cela prend du temps, surtout si vous essayez de créer des choses dans le domaine du contenu ou dans celui des produits, qui sont des activités en courbe en J. Prenons la médecine par exemple. Il s’agit d’un cursus de six ans et d’un parcours de formation de dix ans, au moins au Royaume-Uni, pour ensuite gagner 3 000 €, 4 000 € ou 5 000 € par mois. On ne peut donc pas prétendre vouloir gagner beaucoup d’argent et avoir une grande liberté sans fournir un travail acharné pendant longtemps.

Je veux vous lire une citation d’Eduardo : “Le mois dernier, j’ai gagné plus de 3 500 $ grâce à mon Instagram. Avant de créer Pinlord, le compte où je vends des épinglettes émaillées, je n’avais aucune expérience dans la création d’une entreprise sur les réseaux sociaux. Je ne suis pas influenceur, je ne suis pas particulièrement sociable et je n’ai certainement pas une vie amusante et passionnante à montrer sur Instagram. J’ai appris à monétiser mon compte Instagram en m’efforçant de comprendre comment fonctionne la plateforme et en travaillant dur pour exécuter les bonnes activités à un niveau élevé pendant longtemps. Croyez-moi quand je dis que si je peux le faire, n’importe qui peut le faire.”

Je ne vous dis pas cela pour vous inciter à créer un compte Instagram et essayer de vendre des épinglettes émaillées. L’objectif de cet article est de vous inspirer et de vous montrer différentes voies que vous pouvez utiliser dans votre propre contexte. Un autre exemple est Alex and Books, qui a construit son audience sur Twitter, Instagram et LinkedIn en partageant des résumés et des idées tirées des livres qu’il lit. Il ne crée pas vraiment de contenu, mais il le sélectionne, ce qui est excellent.

Cependant, il y a un problème avec les entreprises de contenu : elles sont généralement ce que l’on appelle des activités en courbe en J. Nous appelons cela les entreprises en courbe en J, c’est-à-dire qu’au début, pendant une période indéterminée, vous êtes en négatif car vous avez investi du temps et des efforts dans ce projet. Prenons l’exemple de YouTube, une entreprise de contenu. Il m’a fallu 52 vidéos et six mois pour obtenir mes premiers mille abonnés et je n’ai été monétisé qu’après 12 mois de vidéos hebdomadaires, qui n’ont généré que quelques dizaines, centaines ou milliers de vues sans pour autant rapporter d’argent. J’ai consacré beaucoup de temps et d’énergie à cette chaîne YouTube, tout en m’amusant. C’est d’ailleurs le thème de mon livre sur la productivité agréable : Feel Good Productivity, comment faire plus de ce qui compte pour vous. Vous pouvez le trouver sur feelgoodproductivity.com.

Le point important est que c’est une entreprise en courbe en J : vous êtes en négatif pendant un certain temps avant de passer en positif. Cela s’applique également à des écrivains comme Jack Raines ou Alex and Books. Vous ne gagnez généralement pas d’argent tout de suite ; il faut passer par une phase d’investissement sans retour immédiat, en espérant un gain futur.

Ce n’est pas forcément une mauvaise approche pour un travail complémentaire, mais il faut être conscient que c’est une courbe en J et qu’il n’y a pas de garanties dans le domaine du contenu. Votre travail doit être bon, toucher le bon public et cela peut prendre du temps.

Si vous cherchez un moyen plus rapide de gagner de l’argent, optez pour une entreprise non en courbe en J. Dans ce cas, vous gagnez de l’argent presque immédiatement, sans investissement initial important. Les entreprises non en courbe en J sont généralement des entreprises de services. Alors, nous avons trois types d’entreprises : les services, les produits et les contenus. Dans ces catégories, on trouve des entreprises à courbe en J et des entreprises sans courbe en J. Le facteur déterminant est le niveau de friction du processus de vente. Merci à mon ami et mentor, Daniel Priestley, que nous avons également eu dans notre podcast “Deep Dive”, pour m’avoir fait découvrir cette façon de penser les affaires.

Prenons l’exemple d’un achat de chocolat dans un supermarché local. Vous entrez, choisissez le produit et passez à la caisse. C’est un processus de vente à faible friction. De même, sur Amazon, vous commandez facilement un article qui arrive chez vous. Avec un processus de vente à faible friction, on obtient généralement une entreprise à courbe en J. Par exemple, un supermarché nécessite beaucoup d’investissement pour construire les locaux, acheter le stock, etc., avant de commencer à gagner de l’argent grâce aux ventes.

En revanche, un processus de vente à haute friction implique de convaincre quelqu’un de dépenser son argent. Par exemple, si je suis concepteur web et cherche des clients, je dois les trouver, discuter avec eux et comprendre leurs besoins avant de leur soumettre une proposition et qu’ils décident de payer pour mes services. Ce type de processus comporte beaucoup plus de friction.

Cela nous amène aux entreprises de services, qui ont tendance à ne pas être des entreprises à courbe en J. Prenons l’idée numéro trois pour un travail indépendant : être concepteur de vignettes (miniatures). L’argent provient de la création de valeur pour les personnes prêtes à payer pour cette valeur.

3. Créateur de miniatures Youtube

Les personnes qui sont ravies de payer pour cette valeur. Une catégorie de ces personnes est les YouTubers comme moi. Nous avons de l’argent et nous sommes ravis de payer, car nous connaissons l’importance des miniatures. Si vous pouvez être un concepteur de miniatures pour les YouTubers, c’est un moyen très raisonnable de gagner de l’argent sur internet d’une manière amusante, libre et flexible avec des finances et tout ce genre de choses. Je veux partager quelques exemples ici.

Il y a ce gars, Dil Tomer. Cet article parle de comment à 19 ans, il a transformé la conception de miniatures pour les YouTubers en un travail à temps plein. Il a commencé à créer des miniatures pour les YouTubers gamers lorsqu’il était encore à l’école. Au début, il vendait une miniature à ses clients pour environ 15 $. Mais après avoir terminé le lycée, il cherchait des opportunités et a réalisé que d’autres grands YouTubers cherchaient sérieusement un concepteur de miniatures. Grâce à son expérience et ses compétences, il a décroché ce poste. Maintenant, il facture plus de 250 $ pour une seule miniature et travaille avec plusieurs grands clients YouTubers, gagnant probablement une somme d’argent incroyablement élevée.

Cette activité qui a commencé comme un travail d’appoint lui permet aujourd’hui de gagner plusieurs milliers, voire jusqu’à 10 000 $ par mois en proposant la conception de miniatures en tant que service. Un autre exemple est Matt Brighton, ancien élève de mon Part-time YouTuber Academy. Aujourd’hui YouTuber, il gagnait de l’argent sur Fiverr en créant des miniatures. Dans cet article, il explique comment il a gagné plus de 10 000 $ en créant des miniatures pour d’autres YouTubers.

Ce n’est pas pour dire que vous devriez devenir concepteur de miniatures, mais cela montre que c’est un exemple de service que vous pouvez offrir à quelqu’un qui est prêt et ravi de payer pour cela. J’ai mentionné la conception de miniatures plusieurs fois dans des vidéos ces deux dernières années. Nous avons reçu de nombreux courriels de personnes proposant leurs services. La plupart du temps, ils ne sont pas très bons. Si vous voulez décrocher ce type de travail, il faut vraiment maîtriser l’art et prendre le temps d’apprendre les techniques nécessaires. En tant que concepteur de miniatures pour un client YouTuber, recréez certaines de leurs miniatures en améliorant celles existantes. Prenez en compte l’ambiance et la marque qu’ils essaient de créer. Si vous y parvenez, vous êtes pratiquement assuré d’obtenir un emploi. Encore aujourd’hui, nous cherchons des concepteurs de miniatures. Chaque fois que quelqu’un nous envoie un courriel disant qu’il a refait trois de nos miniatures, nous les examinons et décidons si nous voulons engager cette personne ou non. Généralement, la réponse est non car elles ne sont pas très bonnes, mais l’opportunité existe et c’est une compétence que tout le monde peut apprendre. Vous devez juste consacrer du temps et des efforts à apprendre cette compétence, car il n’y a pas de moyens gratuits pour gagner de l’argent. Vous devez fournir une compétence, apporter de la valeur et parfois cela prend du temps pour apprendre à fournir cette valeur.

4. Assistant de recherche

L’idée numéro quatre pour les étudiants est d’être assistant de recherche. Le premier exemple ici est Drew Burney, étudiant en doctorat qui a réussi à obtenir un poste d’assistant de recherche pour Mark Manson. Il explique comment il a fait dans une vidéo. Une autre personne, Billy Oppenheimer, est l’assistant de recherche de Ryan Holiday et a obtenu ce poste grâce à un courriel froid. Lisez ce courriel pour comprendre comment envoyer un bon courriel froid. Ce courriel facilite la tâche pour quelqu’un comme Ryan Holiday d’accepter la proposition, et Billy travaille avec lui depuis un certain temps. Et de même, nous avons des personnes qui effectuent ce type de travail de recherche dans notre équipe. Nous avons Inez, Alex et Mike. Ils font plusieurs choses, mais en gros, tout grand créateur de contenu et surtout tout auteur qui écrit plusieurs livres aura toujours besoin d’aide pour la recherche. Donc, si vous êtes le genre de personne qui peut faire des recherches sur Internet, qui aime lire des livres, des articles scientifiques, les comprendre et en tirer des idées intéressantes, c’est une compétence très précieuse que vous pouvez offrir en tant que service à des personnes prêtes et ravies de payer pour cela.

5. Représentant commercial à distance

La cinquième idée de travail à domicile est d’être représentant commercial à distance. C’est l’une des nouvelles tendances dans le monde du travail sur Internet, et c’est plutôt légitime. L’idée derrière le fait d’être un représentant commercial à distance est qu’il y a beaucoup d’entreprises qui ont besoin de quelqu’un pour vendre leur produit aux clients lors d’appels téléphoniques ou sur Zoom. Et si vous pouvez être cette personne qui répond à ces appels ou ces réunions Zoom, pour parler aux clients et les guider dans le processus pour savoir si le produit leur convient, alors vous recevrez une commission sur chaque vente réalisée.

Prenons l’exemple de Wouter Tuynissen (je ne sais pas comment on prononce ça). Ce jeune étudiant néerlandais de 20 ans a envoyé un tweet à Sean Puri en lui donnant gratuitement des conseils pour les miniatures. Sean a adoré la valeur ajoutée gratuite qu’il a apportée et lui a offert un stage dans son entreprise. Maintenant, ce jeune homme vend des publicités pour Milk Road Daily et a vendu pour 250 000 dollars de publicités en 60 jours tout en étudiant à temps plein. Il est essentiellement représentant commercial à distance. Ce n’est pas vraiment un poste traditionnel, mais c’est suffisamment proche pour servir d’exemple.

En résumé, si vous aimez parler aux gens et que l’idée de décrocher le téléphone ou de participer à des appels Zoom pour vendre des produits vous plaît, vous pouvez gagner beaucoup d’argent en tant que représentant commercial à distance. Je vais vous apprendre comment le faire. Il existe de nombreuses autres vidéos sur YouTube où des personnes se spécialisent en tant que représentants des ventes à distance et vous enseignent les tenants et aboutissants de cette pratique. C’est une manière intéressante de gagner de l’argent si cela vous plaît.

6. Concepteur Web

Enfin, la sixième idée de travail à temps partiel pour les étudiants ou pour quiconque est de devenir concepteur web. C’est une approche très ancienne, mais il y a encore trop peu de bons designers et les startups sont prêtes à payer cher pour leurs services. Par exemple, lors d’une conférence d’affaires récente, j’ai rencontré un entrepreneur qui cherchait désespérément six designers compétents pour sa startup évaluée à 100 millions de dollars.

Si vous voulez commencer en tant que travail à temps partiel, vous devez d’abord maîtriser la compétence, car l’argent est un échange de valeur. Une fois que vous êtes bon dans ce domaine, il est facile de trouver des personnes prêtes à payer pour vos services, à condition de rencontrer les bonnes personnes. Prenons l’exemple de Chris Misterek : il y a environ six ans, après une séparation douloureuse avec sa femme, Chris a décidé d’apprendre à coder et à créer des sites web en suivant des tutoriels gratuits sur Codecademy. Ses premiers clients étaient des amis et des membres de sa famille pour qui il travaillait gratuitement. Ensuite, il s’est tourné vers Upwork pour trouver d’autres clients et gagne maintenant plus de 3 000 $ par mois.

Cependant, je pense que Chris pourrait gagner bien plus s’il cherchait des clients en dehors d’Upwork, car je n’aime pas l’idée de proposer des services sur une plateforme de freelance telle qu’Upwork ou Fiverr, où la concurrence est féroce et il est difficile de se démarquer. Je préférerais suivre l’exemple de mon ami Henry qui a appris à concevoir des sites web avec Webflow pendant six mois et est devenu si compétent qu’il a créé son propre site portfolio personnel. Il est devenu populaire sur Twitter en interagissant avec les web designers. Ils ont commencé à apprécier son travail, et il a réussi à obtenir de nombreux clients prestigieux, dont moi-même qui lui ai payé beaucoup d’argent pour concevoir le site web de mon livre feelgoodproductivity.com. Pour Henry, ce qui avait commencé comme un projet parallèle sans aucune expérience en codage ni en design web est devenu une compétence qu’il a développée en six mois au point d’être payé plus de 10 000 $ pour chaque site qu’il concevait.

Conclusion

Si vous êtes encore là, c’est que vous avez une persévérance probablement supérieure à 90 % des personnes. Je pense que seulement 5 à 10 % des gens atteindront ce point dans l’article. Mais sans point d’action, tout cela est inutile.

Dans cet article, nous avons parlé du contenu et des services pour gagner de l’argent, mais pas vraiment des produits. Dans un autre article, je présenterai quelques idées de produits pour gagner de l’argent sur internet, générer des revenus passifs et développer des projets parallèles. Merci beaucoup d’avoir regardé et j’espère vous retrouver dans le prochain article. Au revoir.